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Header 3 scary money stories for a fiscally spooky Halloween
• 29 oct. 2025

Pour souligner cette sinistre saison, trois collègues de la TD et des membres de leur famille racontent des frousses financières dont ils se souviendront longtemps et expliquent les leçons tirées de leurs mésaventures. Pour cet article, nous leur avons permis de porter un déguisement d’Halloween (c’est-à-dire de garder l’anonymat).

Voici leurs histoires vécues.

La maison des horreurs

  • Une locataire déçue

Je me suis installée à Toronto après mes études universitaires. J’avais une vingtaine d’années et une longue liste de projets pour ma vie en ville. D’abord, trouver un appartement. Je vous dévoile la fin : j’ai failli retourner chez mes parents en courant.

C’était la première fois que j’allais vivre seule, sans parents ni colocataires. J’ai trouvé un appartement à prix raisonnable, près des transports en commun. Je l’ai visité rapidement et signé le bail sans trop réfléchir. Ce n’est que le jour du déménagement que j’ai commencé à remarquer que l’appartement de mes rêves ressemblait plutôt à la maison des horreurs.

Les planchers étaient inégaux et étrangement collants. Une substance mystérieuse recouvrait les plinthes. Pire encore, en rangeant ma cuisine, j’ai remarqué des excréments de rongeurs sous l’évier et des taches brunes partout sur la cuisinière.

J’avais payé le premier et le dernier mois de loyer. Mais ce n’était pas important, je devais sortir de là. J’ai appelé mon propriétaire et je l’ai supplié de me laisser résilier mon bail. Finalement, il a accepté et j’ai sorti mes affaires.

J’ai perdu 3 500 dollars, mais j’en ai tiré une précieuse leçon. Inspectez minutieusement votre futur logement ou confiez cette tâche à une personne de confiance avant de signer un bail. Il est bien sûr impossible de détecter ou de prévoir tous les problèmes, mais vous aurez au moins une idée générale des lieux.

En cherchant un logement à louer à Toronto, j’ai aussi découvert l’importance de l’assurance locataire. Cette assurance pourrait couvrir le coût de vos biens en cas de vol ou d’incendie, par exemple. De plus, si votre logement devient inhabitable en raison d’un sinistre couvert, l’assurance locataire peut couvrir les frais de subsistance supplémentaires nécessaires et raisonnables (comme un séjour à l’hôtel), à concurrence d’un montant maximal précis, jusqu’à ce que vous puissiez vous réinstaller ou trouver un autre endroit où vivre. Des conditions s’appliquent toujours, donc lisez bien la police d’assurance au complet ou demandez à un conseiller en assurance de vous aider à la comprendre.

    Des vacances vouées à l’échec financier

    • Hanté par les vacances passées

    J’étais en voyage sac-à-dos avec un ami après avoir passé un an ensemble à enseigner à l’étranger. C’était notre dernière escapade avant de rentrer chez nous.

    Au début de notre voyage, un guichet automatique a avalé la carte bancaire de mon ami. Cette carte provenait d’une banque du pays où nous habitions l’année précédente. C’était à des milliers de kilomètres d’où nous étions, et même après une foule de tentatives, nous n’avons pas pu obtenir une autre carte pour transférer son argent dans son compte bancaire canadien.

    Mon ami a dû renoncer à l’accès à ses fonds pendant les trois mois de notre voyage. En bon Canadien poli, je lui ai proposé de lui en prêter jusqu’à ce que nous trouvions une solution avec sa banque. C’était le voyage de notre vie; je ne voulais pas qu’il soit gâché.

    En bref, nous n’avons jamais pu accéder à son argent. À mesure que nos dépenses augmentaient, j’ai perdu le fil de ce qu’il me devait. C’est vraiment ma faute. C’était toutefois bien avant l’arrivée des services bancaires en ligne et mobiles que nous avons aujourd’hui.

    Une fois rentré au pays, j’ai essayé de calculer combien mon ami me devait. Mais comme je n’avais rien noté, j’ai fini par lui donner une estimation bien inférieure au montant réel.

    Je ne regrette pas ce voyage, il m’a apporté plus que je ne l’avais imaginé. Je sais ce que j’aurais pu faire mieux; nous aurions pu insister davantage pour lui obtenir une nouvelle carte de débit. Au pire, j’aurais pu faire un meilleur suivi (depuis cette expérience, je suis assez doué pour gérer mon budget).

    De plus, je ne tiens jamais les services bancaires mobiles pour acquis.

      Le village hanté

      • Dupée deux fois

      Ma sœur cadette, qui travaille à la TD, est fascinée par les villages d’épices anciens, une collection de 24 pots d’épices en céramique en forme de maison. Les collections de la fin des années 1980 sont difficiles à trouver, et les nouveaux ensembles en série limitée se vendent immédiatement et sont revendus en ligne à prix élevé. Mettre la main sur un de ces ensembles est devenu ma quête personnelle; j’étais déterminée à en trouver un à temps pour Noël.

      J’ai commencé à chercher trois mois avant le grand jour et je suis tombée sur un ensemble en ligne pour 300 dollars. J’étais enthousiaste, mais un peu sceptique. Je l’ai montré à ma mère, qui craint de se faire arnaquer en ligne, mais elle trouvait que ça semblait légitime. Le colis a été expédié de l’étranger avec un numéro de suivi. Un mois plus tard, la boutique en ligne fermait. J’avais un drôle de pressentiment, mais je restais optimiste.

      Pendant ce temps, le colis était bloqué aux États-Unis. À Noël, il n’était toujours pas arrivé. J’ai parlé du problème à ma sœur, et nous avons suivi impatiemment ensemble le trajet du colis. Finalement, j’ai vu qu’il avait été livré. À Terre-Neuve. Nous habitons à Toronto, en Ontario. Nous avons trouvé l’adresse de livraison et le numéro de téléphone qui y était associé, mais quand nous avons appelé, les gens ne savaient pas de quoi nous parlions.

      J’ai finalement récupéré mon argent de la plateforme en ligne, plus déterminée que jamais à trouver un village d’épices pour ma sœur.

      J’ai ensuite trouvé un autre site Web qui vendait l’ensemble complet de 24 morceaux pour environ 425 dollars. Ma mère trouvait que ce site énorme qui vendait des milliers de produits inspirait confiance. J’ai fait l’achat, mais deux jours plus tard, le site Web n’existait plus. Pouf! Il avait disparu sans laisser de traces.

      J’avais été arnaquée. Encore une fois.

      Heureusement, l’histoire se termine bien, du moins pour mon portefeuille. J’ai pu récupérer mon argent, car j’avais payé au moyen d’un réseau de paiement en ligne sécurisé.

      J’ai quand même tiré quelque chose de cette expérience. Je suis désormais très vigilante par rapport aux arnaques de magasinage en ligne. J’essaie de magasiner seulement auprès de marchands que je connais et avec qui j’ai déjà fait affaire. Je garde à l’esprit que si quelque chose semble trop beau pour être vrai, c’est probablement le cas. Je continue à vouloir offrir un village d’épices à ma sœur pour Noël 2025. Mais cette fois, je fais le tour des boutiques d’articles usagés en personne.

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