« J’ai reçu ma lettre d’acceptation! »

Voir le mot « acceptation » à l’écran suscite probablement des sentiments d’euphorie, de fierté, d’incrédulité ou de soulagement chez les futurs étudiants en médecine, médecine vétérinaire ou dentisterie – particulièrement après le marathon de tests standardisés, de demandes et d’entrevues, sans oublier l’attente.

Mais l’euphorie peut bien vite faire place à la préoccupation quand on songe à la façon d’accéder aux ressources financières nécessaires pour payer les frais de scolarité et d’équipement, ainsi que les frais de subsistance pendant les études et la résidence.

Selon Jennifer Bishop, vice-présidente et dirigeante responsable de produit, Crédit personnel, certains étudiants pourraient même devoir envisager d’abandonner leur projet d’études.

Par exemple, les frais annuels du programme de médecine de l’Université de la Colombie-Britannique – une université canadienne de premier plan dans ce domaine – sont de quelque 22 000 $, sans compter le logement, la nourriture, le transport et les autres frais associés aux études de cycles supérieurs.

« Ce serait dévastateur pour les étudiants d’avoir travaillé si fort pour être admis à l’école de médecine, puis de devoir y renoncer faute de cosignataire ou du crédit requis pour emprunter », affirme Jennifer Bishop.

« Nous avons donc examiné en profondeur la façon d’aider ces clients à transformer leur rêve en réalité. »

Afin d’alléger leurs préoccupations, la TD fait aussi en sorte qu’il soit plus simple pour ces étudiants d’obtenir les fonds nécessaires pour payer leurs études. Ainsi, la plupart des étudiants canadiens inscrits dans un établissement d’enseignement canadien en médecine, médecine vétérinaire ou dentisterie n’auront pas besoin de cosignataire pour obtenir une ligne de crédit étudiant TD.

La Banque a aussi augmenté la limite de la ligne de crédit étudiant TD pour les établissements d’enseignement canadiens et américains : 400 000 $ pour les études en médecine et en dentisterie (et jusqu’à 25 000 $ supplémentaires pour les spécialisations de médecine dentaire admissibles), et 250 000 $ pour les études en médecine vétérinaire.

En outre, afin d’aider avec les frais initiaux qui s’accumulent en début de semestre – manuels, frais de logement, sarraus, instruments de laboratoire, etc. – la Banque propose une offre de prime en argent pouvant aller jusqu’à 1 000 $ aux étudiants admissibles qui soumettent une demande et en reçoivent l’approbation d’ici le 31 octobre 2024. Certaines conditions s’appliquent^[1].

Faire face à la pénurie de médecins et de vétérinaires au Canada

La pénurie de médecins – et surtout de médecins généralistes – est un problème bien connu au Canada. En effet, CBC soulignait plus tôt cette année que plus de six millions de Canadiens n’ont pas de médecin généraliste.

Cette pénurie découle de plusieurs facteurs, mais beaucoup de médecins généralistes auxquels les Canadiens font appel pour obtenir des soins primaires ou l’aiguillage vers des spécialistes prennent leur retraite. Parallèlement, la population canadienne continue d’augmenter.

Par ailleurs, le Canada fait aussi face à une pénurie de vétérinaires, particulièrement dans les zones rurales et reculées. En mars, l’Association canadienne des médecins vétérinaires (ACMV) a exprimé sa préoccupation à l’égard d’une pénurie de main-d’œuvre touchant les professionnels du milieu vétérinaire à court terme, et ce, jusqu’en 2031.

À l’instar des personnes, le nombre d’animaux de compagnie a aussi augmenté dans les ménages canadiens. De fait, selon l’ACMV, le nombre d’animaux de compagnie a explosé au Canada pendant la pandémie, les gens recherchant du réconfort et du divertissement pendant une période difficile.

Aider plus d’étudiants en médecine et en médecine vétérinaire à accéder au financement nécessaire pour étudier et commencer à exercer contribue en partie à relever un défi national beaucoup plus vaste, souligne Jennifer Bishop.

Gérer ses finances une fois le diplôme en main

Quand ils choisissent une ligne de crédit étudiant TD, les étudiants obtiennent un accès constant au crédit pendant leur résidence, une période pendant laquelle ils ont habituellement terminé de payer leurs frais de scolarité, mais où ils gagnent un salaire peu élevé.

Les nouveaux médecins, dentistes et vétérinaires ne paient que les intérêts pendant tout au plus deux ans après la fin de leur programme ou de leur résidence en médecine, explique Jennifer Bishop.

En prévision de la fin de leurs études, les futurs diplômés peuvent aussi obtenir de l’aide pour ouvrir un compte bancaire pour PME, dit-elle, car souvent les médecins, vétérinaires et dentistes deviennent propriétaires d’entreprise.

« À mesure que la fin de leurs études approche, nous pouvons aussi les orienter vers des professionnels en gestion de patrimoine, directement dans nos succursales, pour leur offrir des conseils et, dans bien des cas, les mettre en relation avec des conseillers des Services bancaires aux PME à mesure qu’ils deviennent des professionnels établis », conclut Jennifer Bishop.

Pour en savoir plus sur les options de financement des études en médecine, médecine vétérinaire ou dentisterie, prenez rendez-vous et parlez à un représentant de la TD à votre succursale.

^[1] L’offre de prime en argent associée à la ligne de crédit étudiant TD (l’« offre ») s’adresse aux étudiants de niveau collégial, de premier cycle, des cycles supérieurs et en médecine, en médecine dentaire ou en médecine vétérinaire qui sont inscrits à temps plein ou à temps partiel dans une université ou un collège reconnu au Canada ou ailleurs et qui : a) ont atteint l’âge de la majorité dans leur province ou territoire de résidence; b) demandent et obtiennent une nouvelle ligne de crédit étudiant TD au plus tard le 31 octobre 2024 et; c) ouvrent la ligne de crédit étudiant TD au plus tard le 15 novembre 2024.