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Header Here are 3 of the biggest financial deal breakers in a relationship according to new TD survey
• 12 mai 2025

Cet article, « S’unir en couple n’exige pas de partager un compte bancaire », est le premier d’une série portant sur l’amour et l’argent. Pour le lire, c’est par ici. Vous voulez obtenir plus de contenu sur les finances personnelles? Suivez ce lien.


Quitteriez-vous votre partenaire si vous découvriez qu’il ou elle possède un compte bancaire secret dont vous n’avez jamais entendu parler? Et si cette personne vous cachait des dizaines de milliers de dollars de dettes de carte de crédit? Ou si elle était simplement radine?

Si vous avez répondu « oui » à l’une de ces questions, vous n’êtes pas un cas isolé. Selon un récent sondage de la TD, de nombreux Canadiens ont des irritants financiers décisifs quand il s’agit de leurs relations amoureuses.

Le sondage a révélé que 71 % des Canadiens interrogés envisageraient de rompre avec leur partenaire s’ils découvraient que cette personne n’était pas honnête au sujet de ses finances, et 65 % mettraient fin à la relation si leur partenaire ne leur proposait jamais de payer quoi que ce soit.

De plus, plus de la moitié (56 %) des personnes sondées ont indiqué qu’elles pourraient rompre si leur partenaire avait de mauvaises habitudes de dépenses.

« Notre sondage démontre que les Canadiens accordent beaucoup d’importance aux comportements et aux choix financiers de leur partenaire », explique Nicole Ewing, conseillère principale, Bureau de la planification du patrimoine, Gestion de patrimoine TD.

« La façon dont une personne gère ses finances peut avoir une incidence sur la façon dont son ou sa partenaire considère l’avenir de leur relation. L’amour et l’argent sont souvent très liés, car si vous ne pouvez pas faire confiance à votre partenaire pour les questions d’argent, vous vous demanderez peut-être si cette relation vous convient. »

La valeur nette et la transparence financière sont des valeurs importantes pour les Canadiens dans leurs relations

Le sondage de la TD a révélé un léger fossé générationnel en ce qui concerne les sentiments liés à l’argent dans les relations.

C’est chez la génération Z que la question de l’argent dans le couple touche le plus une corde sensible : 65 % des répondants affirment que la valeur nette de leur partenaire est importante à leurs yeux en début de relation, contre une moyenne nationale de 57 %.

Qui plus est, un répondant de la génération Z sur quatre déclare qu’il ne fréquenterait probablement pas une personne dont le salaire est inférieur au sien.

De nombreux Canadiens considèrent comme important de parler ouvertement de leur situation financière personnelle : 70 % des Canadiens interrogés estiment que la transparence et la responsabilité financières sont des facteurs cruciaux dans une relation. Près de la moitié des Canadiens sondés croient également que l’idéal est d’avoir une conversation sur l’argent une ou deux fois par mois.

« Parce que les situations financières et les circonstances peuvent changer avec le temps, il peut être très important de discuter régulièrement avec votre partenaire de vos objectifs d’épargne, de placement et de retraite, explique Mme Ewing.

Surtout si vous divisez les coûts tels que les dépenses du ménage et les factures; il est toujours judicieux de revoir votre façon de gérer l’argent, individuellement et en couple. »

L’importance de parler d’argent dans une relation

L’argent n’est peut-être pas le sujet le plus romantique, mais selon le sondage, il peut s’agir d’un sujet important pour maintenir une relation saine.

Même si 7 répondants sur 10 ont indiqué que la transparence financière était essentielle dans une relation, seulement 41 % des couples disent qu’ils n’ont parlé d’argent avec leur partenaire qu’après avoir emménagé ensemble, ou lorsqu’ils se sont mariés ou sont devenus conjoints de fait.

Cette divergence démontre que même si les Canadiens apprécient les discussions sur les finances, ils ne s’entendent pas tous sur le moment pour en avoir. D’autres recherches ont aussi démontré que l’état financier d’une personne peut également avoir une incidence sur son désir de parler d’argent.

Une étude publiée dans le Journal of Consumer Psychology a révélé que les gens qui vivent un stress financier important (c.-à-d. qui se sentent dépassés par les dépenses, qui ont de la difficulté à respecter leurs obligations financières ou qui sont préoccupés par la gestion de leur argent) sont moins susceptibles de communiquer avec leur partenaire, car ils craignent les conflits.

Une étude menée à l’Université Carleton et à l’Université Western a révélé que le stress financier dans une relation peut affecter la façon dont une personne perçoit le soutien de son partenaire. Lorsqu’il y a des désaccords à propos de l’argent, par exemple, les études montrent que les gens se sentent plus négligés ou méfiants et se disent moins satisfaits dans leur relation.

Bien qu’il s’agisse en grande partie d’un choix personnel, Mme Ewing indique que le fait de parler d’argent tôt dans la relation peut aider les couples à s’entendre en matière de finances. Par exemple, en discutant avec votre partenaire de ses préférences en matière d’épargne, d’investissement ou de dépenses, vous comprendrez mieux ses habitudes financières et pourrez déterminer si elles cadrent avec les vôtres.

(Pour obtenir des conseils sur la façon de combiner vos finances avec celles de votre partenaire, consultez cet article d’Actualités TD.)

« Il existe de nombreuses ressources pour les Canadiens qui veulent avoir des conversations ouvertes, honnêtes et productives avec leur partenaire au sujet de l’argent, affirme Mme Ewing.

Aux couples qui souhaitent consulter un professionnel, la TD propose l’aide de banquiers personnels TD et de conseillers de Gestion de patrimoine TD qui sont disponibles partout au pays pour donner des conseils financiers et aider à prendre des décisions sur les questions d’argent, les finances personnelles et les placements. Les Canadiens n’ont pas à mener seuls les conversations sur l’argent. »


À propos du sondage de la TD

Ce sondage d’opinion publique de Maru Group, réalisé pour le compte du Groupe Banque TD, a été mené par les spécialistes en collecte de données et d’échantillons de Maru/Blue. Il a été mené du 21 au 22 janvier 2025 auprès de 1 534 adultes canadiens, sélectionnés au hasard parmi les panélistes en ligne de Maru Voice Canada. Les résultats de ce sondage ont été pondérés par niveau de scolarité, âge, genre et région (et par langue, au Québec) pour refléter la population, selon les données de recensement. Cette pondération permet de s’assurer que l’échantillon est représentatif de l’ensemble de la population canadienne adulte. À des fins de comparaison, un échantillon probabiliste de cette taille aurait une marge d’erreur (qui mesure la variabilité de l’échantillon) d’environ +/- 2,5 %, 19 fois sur 20. Les chiffres ayant été arrondis, des écarts peuvent survenir entre les totaux et les données du tableau.

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