La TD est fière d’employer plus de 85 000 personnes partout en Amérique du Nord et dans le monde, dont bon nombre occupent des postes bien spéciaux qui ne sont pas habituellement associés à une institution financière.
Dans le cadre de notre plus récente série « Voici la TD », nous vous présentons des personnes qui, chaque jour, viennent travailler à la TD pour rendre notre entreprise plus durable et atténuer l’incidence des changements climatiques sur les collectivités que nous servons.
Rares sont ceux qui peuvent se targuer d’être constamment à l’affût des occasions dans le cadre de leur travail.
Mais dans le cas de Nicole Vadori, le quotidien à titre de vice-présidente associée et de chef de l’environnement à la TD prend les allures suivantes : établir de nouvelles relations avec les organismes environnementaux de premier plan à l’échelle mondiale et travailler avec les différents secteurs d’activité à la TD pour mettre au point plus de produits, de stratégies et d’initiatives durables.
« Mon équipe est constamment à la recherche de façons qui nous permettront de nous imposer en tant que marque ayant un but. Il s’agit des liens à tisser entre nos collègues et les parties prenantes qui nous aideront à offrir à notre entreprise, à nos collectivités et à notre planète quelque chose de vraiment bénéfique, nous dit Mme Vadori. Une infinité d’options s’offrent à nous pour intégrer encore plus le développement durable à notre entreprise et faire la preuve de notre leadership en ce qui a trait à la transition vers une économie à faibles émissions de carbone. Nous cherchons à créer un effet d’entraînement qui provoquera un changement jusqu’à l’extérieur de nos murs. »
Par exemple, en octobre 2018, la TD a annoncé une contribution d’un million de dollars canadiens à la mise en place du Laboratoire TD pour un avenir durable à Waterloo, le premier accélérateur de technologies propres de la région, conçu pour offrir du soutien et du mentorat aux entreprises en démarrage travaillant à trouver des solutions durables et à favoriser une économie à faibles émissions de carbone.
Le programme d’accélération (mis en service en décembre 2018) offrira un soutien à 40 entreprises en démarrage dans le secteur des technologies propres au cours des cinq prochaines années.
Mme Vadori croit que ce sont des occasions comme celles-là qui permettent à la TD de concrétiser sa vision d’agir en tant que leader d’opinion dans l’espace environnemental.
« L’accent que nous mettons sur les technologies propres permettra aux entreprises locales dans ce secteur d’être concurrentielles et de remporter du succès sur le marché mondial. Par ailleurs, les technologies propres représentent une des occasions les plus prometteuses d’accélérer la transition vers une économie à faibles émissions de carbone », nous indique-t-elle.
L’autre source de fierté de Mme Vadori se trouve dans les jalons historiques que franchit la TD. En 2010, la TD est devenue la première banque basée en Amérique du Nord à afficher un bilan neutre en carbone. Et en 2014, l’entreprise est devenue la première banque canadienne à émettre des obligations vertes.
Le feu qui a donné naissance à une carrière
Les décisions que prennent Mme Vadori et son équipe contribuent chaque jour à combattre les changements climatiques en vue d’offrir une meilleure qualité de vie, ce qui fait dire à la principale intéressée que son poste constitue un travail des plus gratifiants.
« Je n’aurais jamais imaginé travailler un jour dans une grande banque. Et pourtant, me voilà! », nous raconte-t-elle. Son intérêt pour la conservation environnementale a vu le jour alors qu’elle était élève au secondaire, lorsqu’un incendie a ravagé un entrepôt de pneus.
« De gros nuages de fumée compacte montaient dans le ciel. C’était évident qu’il allait y avoir des conséquences en aval en termes de pollution des eaux, des sols et de l’air. J’étais catastrophée et je n’arrêtais pas de me demander comment une telle chose avait pu se produire. »
Mme Vadori est par la suite devenue ingénieure chimique. Elle a d’abord travaillé dans le domaine du génie environnemental avant de se joindre à la TD il y a six ans, dans le cadre du Programme de leadership des diplômés. Après avoir travaillé pour différents secteurs de la Banque, elle s’est finalement retrouvée au sein de l’équipe environnementale du groupe Services immobiliers de l’entreprise, où elle a approfondi ses connaissances en ce qui a trait à l’engagement de la TD de réduire son empreinte carbone au moyen d’une conception écoénergétique de ses succursales et de stratégies d’exploitation.
Mais Mme Vadori vise à générer un changement qui va au-delà des activités de la TD. Pour y arriver, elle et son équipe doivent évaluer des occasions qui assurent un équilibre entre la durabilité environnementale et le besoin de financer des projets qui soutiennent la croissance économique.
Ce qui contribue à façonner la plateforme mondiale d’entreprise citoyenne de la TD (connue sous le nom La promesse Prêts à agir) réside dans la concrétisation de ce concept d’équilibre. Dans le cadre de la plateforme, la TD fait croître et revitalise les espaces verts pour ouvrir la voie à la création de collectivités agréables et résilientes, en plus de soutenir la transition vers une économie à faibles émissions de carbone. La plateforme prévoit notamment l’atteinte d’un objectif de 100 milliards de dollars canadiens d’ici 2030, sous forme de prêts, de financement, de gestion des actifs et d’autres programmes.
Depuis qu’elle a annoncé sa cible en 2017, la TD a contribué à hauteur de 30 milliards de dollars canadiens aux initiatives à faibles émissions de carbone, ce qui a permis de réduire les émissions de gaz à effet de serre de 611 000 tonnes, compensant la consommation d’énergie annuelle de près de 70 000 ménages nord-américains.
Créer un consensus en faveur d’un changement mondial
Pour que se produise un réel changement, Mme Vadori est d’avis que chaque personne a un rôle à jouer en matière de durabilité environnementale. Et dans le cadre de ses fonctions, contribuer à créer un consensus entre les collègues désireux d’apporter des changements à leur entreprise, les organismes capables d’exercer une incidence sur les politiques gouvernementales et les pratiques commerciales durables, et les groupes communautaires sur le terrain qui font place à des espaces verts constitue un « formidable » avantage de son mandat.
Mme Vadori précise qu’elle se réjouit à l’avance de travailler en étroite collaboration avec ALUS Canada, un organisme à but non lucratif récemment parrainé par la TD, qui aide les agriculteurs et les éleveurs à préserver des acres de terres, ce qui permettra de purifier l’air, filtrer nos eaux, créer un habitat pour la faune et fournir d’autres services en lien avec les écosystèmes aux collectivités du Canada. Cet organisme parvient à ses fins en finançant la restauration des terres agricoles et humides, en assurant la gestion de systèmes de drainage durables, en soutenant les programmes de reboisement, et en mettant en place d’autres projets bénéfiques à l’environnement sur ces propriétés.
« Nous aidons les cultivateurs et le domaine agricole à accroître les revenus tirés des terres sous-exploitées, tout en bâtissant des relations plus solides avec notre propre communauté agricole et en contribuant à purifier l’air et l’eau, ainsi qu’à régénérer les sols », conclut Mme Vadori.
« C’est précisément ce type de changement au niveau du terrain et qui va au-delà des murs de la TD qui m’incite à venir travailler chaque jour. »