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TORONTO et NEW YORK, le 18 décembre 2017/CNW/ – Le Groupe Banque TD (TD) a annoncé aujourd’hui une série d’initiatives pour promouvoir l’économie à faibles émissions de carbone de l’avenir.

Dans le cadre de ces initiatives, une cible de 100 milliards de dollars canadiens sous forme de prêts, de financement, de services de gestion des actifs et d’autres programmes favorisant une économie à faibles émissions de carbone a été fixée pour 2030. La TD prend des mesures concrètes pour contribuer à accélérer le développement de l’économie à faibles émissions de carbone, tout en reconnaissant l’importance de développer de manière responsable la production d’énergie conventionnelle qui est essentielle pour assurer la sécurité et la force de l’économie en Amérique du Nord.

« Notre économie change, et la TD a l’intention de participer pleinement à son évolution, déclare Bharat Masrani, président du Groupe et chef de la direction, Groupe Banque TD. Les initiatives présentées aujourd’hui s’appuient sur notre tradition de leadership en matière environnementale et financière afin de faire progresser encore plus la prospérité et le développement durable futurs et bâtir un avenir où les collectivités s’épanouissent à court terme et à long terme sur les plans de l’économie et de l’environnement. »


Initiatives de la TD pour favoriser une économie à faibles émissions de carbone et atteindre la cible de 100 milliards de dollars

  • Travailler avec les entreprises pour faire avancer les idées et les projets qui stimulent l’innovation et contribuent à la réduction des émissions de carbone, à l’aménagement de logements écoénergétiques et à la mise en valeur d’espaces verts en milieu urbain.
  • Stimuler l’économie à faibles émissions de carbone – dont les processus, les activités et les technologies reposant sur l’énergie propre et renouvelable – en offrant des prêts, du financement et des services de gestion des actifs (cadrant avec l’approche d’investissement durable de Gestion de Placements TD) et d’autres programmes favorisant une économie à faibles émissions de carbone.
  • Favoriser la compréhension et le dialogue – en appuyant la recherche, en diffusant des publications et en alimentant la conversation – pour aider la société et l’économie à opérer une transition réussie.
  • Miser davantage sur la stratégie liée aux obligations vertes (émission, prise ferme et investissement) pour soutenir des projets qui favorisent la croissance économique et des retombées environnementales positives.
  • Maintenir le bilan neutre en carbone des sept dernières années pour continuer à réduire l’empreinte de carbone de la TD.
  • Planter un million de nouveaux arbres en Amérique du Nord, pour plus que doubler le nombre d’arbres plantés depuis 1990.


« La TD démontre le rôle crucial que les institutions financières peuvent – et doivent – jouer pour appuyer la prospérité économique et la technologie de transformation. Nous sommes déterminés à cerner des initiatives qui auront des conséquences positives pour notre société et l’économie, et à les faire progresser », déclare Norie Campbell, chef de groupe, Expérience client et Expérience collègue, Groupe Banque TD.

La TD a été l’une des premières institutions du secteur bancaire à reconnaître les changements climatiques comme une tendance lourde sur les plans de l’environnement et de l’économie. Cette reconnaissance est à la base de l’intérêt grandissant de la TD pour les initiatives favorisant de faibles émissions de carbone.

Étapes importantes pour la TD

  • 2009 : Publication de la première étude sur la tarification des émissions de carbone par les Services économiques TD
  • 2010 : Première grande institution financière basée en Amérique du Nord à afficher un bilan neutre en carbone
  • 2013-2017 : Reconnaissance de la TD par CDP comme faisant partie des banques canadiennes les mieux classées pour la divulgation des renseignements liés au climat
  • 2014-2017 : Seule banque canadienne inscrite à l’indice mondial Dow Jones de développement durable des trois dernières années
  • 2014 : Première banque canadienne à émettre une obligation verte
  • 2015 : Participation à l’initiative RE100; respect de notre engagement à nous approvisionner à 100 % en énergie électrique renouvelable
  • 2016 : Diminution des émissions de GES de la TD de 24 % depuis 2008
  • 2016 : Participation à la protection de 60 000 acres d’habitat forestier menacé au cours des cinq dernières années et à la plantation de 900 000 arbres depuis 1990
  • 2016 : Prise ferme d’obligations vertes par Valeurs Mobilières TD à hauteur de 6,5 milliards de dollars depuis 2010
  • 2017 : La Fondation TD des amis de l’environnement (FAE TD) entame sa 27e année grâce au soutien de plus de 180 000 donateurs. La FAE TD a versé environ 82 millions de dollars à plus de 24 000 programmes et projets environnementaux un peu partout au Canada
  • 2017 : Émission d’un milliard de dollars US d’obligations vertes, une première pour la TD aux États-Unis
  • 2017 : Participation au groupe des 16 banques dans le monde qui testent les recommandations du groupe de travail sur les informations financières liées au climat sous la gouverne de l’Initiative finance du Programme des Nations Unies pour l’Environnement
  • 2017 : Obtention de la certification LEED pour 249 immeubles en Amérique du Nord

Selon des études menées par Environics Research pour la TD, la majorité des Américains et des Canadiens sont préoccupés par les changements climatiques, mais la plupart d’entre eux n’ont pas une idée claire de ce qu’est l’économie à faibles émissions de carbone ni de son potentiel pour façonner l’avenir d’ici les prochaines décennies.

  • Plus de 70 % des répondants au Canada et 60 % des répondants aux États-Unis se sentent mal informés à propos des enjeux entourant les changements climatiques et l’énergie
  • La majorité des répondants au Canada et aux États-Unis considèrent les enjeux environnementaux comme une priorité
  • Plus de la moitié d’entre eux appuient le développement d’énergie écoresponsable pour répondre aux besoins actuels en énergie

Mise en garde à l’égard des énoncés prospectifs
De temps à autre, la Banque (comme elle est définie dans le présent document) fait des énoncés prospectifs, écrits et verbaux, y compris dans le présent document, dans d’autres documents déposés auprès des organismes de réglementation canadiens ou de la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis et dans d’autres communications. En outre, des représentants de la Banque peuvent formuler verbalement des énoncés prospectifs aux analystes, aux investisseurs, aux médias et à d’autres personnes. Tous ces énoncés sont faits conformément aux dispositions d’exonération et se veulent des énoncés prospectifs aux termes de la législation en valeurs mobilières applicable du Canada et des États-Unis, notamment la loi des États-Unis intitulée Private Securities Litigation Reform Act of 1995. Les énoncés prospectifs comprennent, entre autres, les énoncés figurant dans le présent document, dans le rapport de gestion de 2017 à la rubrique « Sommaire et perspectives économiques », pour les secteurs d’activité des Services de détail au Canada, des Services de détail aux États-Unis et des Services bancaires de gros, aux rubriques « Perspectives et orientation pour 2018 », et pour le Siège social, à la rubrique « Orientation pour 2018 », ainsi que dans d’autres énoncés concernant les objectifs et les priorités de la Banque pour 2018 et par la suite et les stratégies pour les atteindre, le contexte réglementaire dans lequel la Banque exerce ses activités, ainsi que le rendement financier prévu de la Banque. Les énoncés prospectifs se reconnaissent habituellement à l’emploi de termes et expressions comme « objectif », « cible », « croire », « prévoir », « anticiper », « avoir l’intention de », « estimer », « planifier » et « pouvoir » et de verbes au futur ou au conditionnel.

De par leur nature, ces énoncés prospectifs obligent la Banque à formuler des hypothèses et sont assujettis à des risques et incertitudes, généraux ou spécifiques. Particulièrement du fait de l’incertitude quant à l’environnement physique et financier, à la conjoncture économique, au climat politique et au cadre réglementaire, ces risques et incertitudes – dont bon nombre sont indépendants de la volonté de la Banque et dont les répercussions peuvent être difficiles à prévoir – peuvent faire en sorte que les résultats réels diffèrent considérablement de ceux avancés dans les énoncés prospectifs. Les facteurs de risque qui pourraient entraîner, isolément ou collectivement, de tels écarts incluent les risques notamment de crédit, de marché (y compris le risque de position sur titres de participation, le risque sur marchandises, le risque de change, le risque de taux d’intérêt et le risque associé aux écarts de taux), de liquidité, d’exploitation (y compris les risques liés à la technologie et à l’infrastructure), d’atteinte à la réputation, d’assurance, de stratégie et de réglementation ainsi que les risques juridiques, environnementaux, d’adéquation des fonds propres et les autres risques. Ces facteurs de risque comprennent notamment la conjoncture économique et commerciale dans les régions où la Banque exerce ses activités; la capacité de la Banque à mettre en œuvre ses principales priorités, notamment réaliser des acquisitions et des cessions, fidéliser la clientèle, élaborer des plans stratégiques et recruter, former et conserver des dirigeants clés; les interruptions ou attaques (y compris les cyberattaques) visant la technologie informatique, Internet, les systèmes d’accès au réseau ou les autres systèmes ou services de communications voix-données de la Banque; l’évolution de divers types de fraude et d’autres comportements criminels auxquels la Banque est exposée; le défaut de tiers de se conformer à leurs obligations envers la Banque ou ses sociétés affiliées, notamment relativement au traitement et au contrôle de l’information; l’incidence de la promulgation de nouvelles lois et de nouveaux règlements et de la modification des lois et des règlements actuels ou de leur application, y compris sans s’y restreindre, les lois fiscales, les lignes directrices sur les fonds propres à risque et les directives réglementaires en matière de liquidité et le régime de recapitalisation interne de la banque; l’exposition aux litiges et aux affaires réglementaires d’envergure; la concurrence accrue, y compris dans le domaine des services bancaires par Internet et par appareil mobile et des concurrents non traditionnels; les changements apportés aux notations de crédit de la Banque; les variations des taux de change et d’intérêt (y compris la possibilité de taux d’intérêt négatifs); l’augmentation des coûts de financement et de la volatilité des marchés causée par l’illiquidité des marchés et la concurrence pour l’accès au financement; les estimations comptables critiques et les changements apportés aux normes comptables, aux politiques comptables et aux méthodes comptables utilisées par la Banque; les crises d’endettement potentielles et existantes à l’échelle internationale; et l’occurrence d’événements catastrophiques naturels et autres que naturels et les demandes d’indemnisation qui en découlent. Rien ne garantit que la TD sera capable d’atteindre sa cible de 100 milliards de dollars canadiens d’ici 2030 en raison d’une variété de facteurs dont : des incertitudes entourant les niveaux futurs des fusions et des acquisitions, les activités des marchés des capitaux dans des secteurs pertinents, et le niveau de participation relatif de Valeurs Mobilières TD dans de telles activités; une croissance des montages de prêts plus faible que celle anticipée pour des secteurs pertinents; une croissance des actifs sous gestion plus faible qu’anticipée; des incertitudes quant à la taille future du portefeuille de trésorerie de la Banque; et des incertitudes quant aux futurs dons aux collectivités et programmes environnementaux de la Banque. La Banque avise le lecteur que la liste qui précède n’est pas une liste exhaustive de tous les facteurs de risque possibles et que d’autres facteurs pourraient également avoir une incidence négative sur les résultats de la Banque. Pour de plus amples renseignements, se reporter à la section « Facteurs de risque et gestion des risques » du rapport de gestion de 2017, telle qu’elle peut être mise à jour dans les rapports aux actionnaires trimestriels déposés par la suite et dans les communiqués (le cas échéant) relatifs à toute transaction ou tout événement dont il est question à la rubrique « Événements importants » dans le rapport de gestion pertinent, lesquels peuvent être consultés sur le site Web www.td.com/fr. Le lecteur doit examiner ces facteurs attentivement, ainsi que d’autres incertitudes et événements possibles, de même que l’incertitude inhérente aux énoncés prospectifs, avant de prendre des décisions à l’égard de la Banque, et ne doit pas se fier indûment aux énoncés prospectifs de la Banque.

Les hypothèses économiques importantes étayant les énoncés prospectifs contenus dans le présent document sont décrites dans le rapport de gestion de 2017 à la rubrique « Sommaire et perspectives économiques », pour les secteurs d’activité des Services de détail au Canada, des Services de détail aux États-Unis et des Services bancaires de gros, sous les rubriques « Perspectives et orientation pour 2018 », et pour le Siège social, à la rubrique « Orientation pour 2018 », telles qu’elles peuvent être mises à jour dans les rapports trimestriels aux actionnaires déposés par la suite.

Tout énoncé prospectif contenu dans le présent document représente l’opinion de la direction uniquement à la date des présentes et est communiqué afin d’aider les actionnaires de la Banque et les analystes à comprendre la situation financière, les objectifs, les priorités et le rendement financier prévu de la Banque aux dates indiquées et pour les périodes closes à ces dates, et peut ne pas convenir à d’autres fins. La Banque n’effectuera pas de mise à jour de quelque énoncé prospectif, écrit ou verbal, qu’elle peut faire de temps à autre directement ou indirectement, à moins que la législation en valeurs mobilières applicable ne l’exige.

À propos du Groupe Banque TD
La Banque Toronto-Dominion et ses filiales sont désignées collectivement par l’appellation Groupe Banque TD (la « TD » ou la « Banque »). La TD est la sixième banque en importance en Amérique du Nord d’après le nombre de succursales et elle offre ses services à plus de 25 millions de clients. Ces services sont regroupés dans trois grands secteurs d’exploitation qui exercent leurs activités dans plusieurs centres financiers dans le monde : Services de détail au Canada, y compris TD Canada Trust, Financement auto TD au Canada, Gestion de patrimoine TD (Canada), Placements directs TD et TD Assurance; Services de détail aux États‑Unis, y compris TD BankMD, America’s Most Convenient BankMD, Financement auto TD aux États-Unis, Gestion de patrimoine TD (États-Unis), et une participation dans TD Ameritrade; et Services bancaires de gros, y compris Valeurs Mobilières TD. En outre, la TD figure parmi les principales sociétés de services financiers en ligne du monde, avec environ 11,5 millions de clients actifs du service en ligne et du service mobile. Au 31 octobre 2017, les actifs de la TD totalisaient 1,3 billion de dollars canadiens. La Banque Toronto-Dominion est inscrite à la Bourse de Toronto et à la Bourse de New York sous le symbole « TD ».

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