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Le 22 juillet 2013 (TORONTO) - Les Y commencent à investir en prévision de l’avenir à un plus jeune âge que la génération de leurs parents, ne se laissant pas décourager par les frais de scolarité plus élevés, des perspectives d’emploi plus limitées et l’augmentation du prix des logements. Selon l’Indice de perspectives de placement TD, l’épargnant moyen de la génération Y a fait son premier placement à l’âge de 20 ans. En comparaison, les membres des générations précédentes ont attendu d’être plus près de la trentaine avant de faire leur premier placement, les baby-boomers ayant attendu jusqu’à l’âge de 27 ans.

L’Indice de perspectives de placement TD, qui a permis d’examiner les perspectives des épargnants canadiens et les facteurs externes influençant leurs décisions de placement, révèle que la principale raison ayant incité les épargnants de la génération Y à faire leur premier placement a été les encouragements de la famille (41 %). Dans le cas des baby-boomers, le principal facteur à l’origine de leur premier placement a été l’augmentation de leurs revenus (36 %). Même avec le soutien de leur famille pour commencer à investir, plus du tiers des épargnants de la génération Y ont indiqué qu’il était difficile de savoir où trouver des conseils dignes de confiance (35 %).

« Malgré la situation qui semble défavoriser la génération Y, les jeunes épargnants commencent tôt à planifier leur avenir financier », déclare Cynthia Caskey, vice-présidente et gestionnaire de portefeuille, Conseils de placement privés, Gestion de patrimoine TD. « Bien que le soutien de la famille puisse aider à établir de bonnes habitudes financières, les Y font face à une réalité financière très différente de celle de leurs parents. Un conseiller peut les aider à y voir clair et à élaborer un plan adapté aux besoins et aux défis propres à leur génération. »

Acquérir de bonnes habitudes

Au cours des 12 derniers mois, les membres de la génération Y ont, en moyenne, investi environ un cinquième (18 %) de leur revenu. Ils ont déclaré que, idéalement, ils investiraient près du tiers de leur revenu (29 %) et qu’ils espèrent investir une telle proportion (30 %) dans 10 ans. Les épargnants de la génération Y ont aussi été plus nombreux que les baby-boomers à affirmer qu’ils augmenteraient le pourcentage de leur revenu investi si les marchés boursiers s’amélioraient (35 % et 15 %, respectivement).

« Les jeunes épargnants bénéficient d’un horizon de placement plus long et peuvent donc tirer parti de leur âge », ajoute Mme Caskey. « Le temps joue en leur faveur : en épargnant avec régularité, même des sommes modestes, ils pourront constituer un pécule appréciable et tirer parti des intérêts composés. Par exemple, en investissant 100 $ chaque semaine, un épargnant pourra, dans 10 ans, verser une mise de fonds de 65 551 $ pour l’achat d’une maison, si le taux de rendement est de 6 %. Le même apport régulier sur une période de 40 ans pourrait permettre à un épargnant d’économiser 796 596 $ et, ainsi, de voyager, de s’adonner à un nouveau loisir ou même de démarrer une entreprise au moment de sa retraite. »

Penser à long terme

L’Indice de perspectives de placement TD a également révélé que la planification de la retraite et l’épargne en vue de l’achat d’une maison étaient les deux principales priorités des Y, malgré la concurrence actuelle qui règne sur le marché de l’habitation. Malgré la nécessité d’établir un équilibre entre la dette étudiante et la gestion des dépenses, la moitié des épargnants de la génération Y ont indiqué que l’épargne pour la retraite était leur premier objectif de placement (50 %), suivi de l’achat d’une maison (44 %), des voyages (43 %) et de l’atteinte d’une indépendance financière (42 %).

« Les jeunes épargnants d’aujourd’hui ont plusieurs priorités financières concurrentes, ce qui rend difficile la tâche d’établir un équilibre entre les objectifs à court et à long terme et le choix d’options de placement répondant le mieux à leurs besoins », souligne Mme Caskey. « Les CELI sont un bon choix pour les jeunes en raison de la flexibilité qu’ils offrent. Il existe de nombreux instruments de placement, à partir du compte d’épargne à intérêt élevé jusqu’aux instruments plus volatils comme les fonds communs de placement, les actions ou les titres cotés. »

Prendre le contrôle de son avenir

Bien que plus d’un quart des épargnants de la génération Y aient affirmé qu’un de leurs parents ou un autre membre de leur famille les a renseignés sur l’épargne et les placements (27 %), près d’un cinquième ont indiqué qu’ils avaient appris seuls à épargner et à investir (18 %). L’autonomie étant une caractéristique propre à la génération Y, près de la moitié (48 %) des épargnants de cette génération gèrent leur portefeuille directement en ligne.

« Aujourd’hui, les jeunes épargnants constituent et gèrent leur portefeuille de façon avisée, déclare Alfred Chung, directeur, Services à la clientèle asiatique, Placements directs TD. Grâce à la technologie mobile, telle que l’application mobile TD, ceux qui choisissent une méthode de placement axée sur l’autogestion peuvent obtenir des cotes boursières en temps réel, accéder à des données sur le marché et à des rapports de recherche, et effectuer des transactions en temps réel à partir de leur téléphone intelligent. »

Vous trouverez plus de renseignements sur cette application à l’adresse www.tdwaterhouse.ca/mobile.

À propos de l’Indice de perspectives de placement TD

Head Research s’est vu confier le mandat de mener une enquête à l’échelle nationale auprès de
N=1 002 personnes interrogées parmi des épargnants canadiens adultes qui ont acheté ou vendu des placements dans les 12 derniers mois et possèdent présentement au moins un produit de placement, dont 150 Canadiens âgés de 23 à 33 ans (la génération Y) et 450 Canadiens âgés de 53 à 66 ans (les baby-boomers). Les personnes interrogées proviennent d’un échantillon non probabiliste. L’enquête a été menée entre le 8 et le 12 avril 2013.

À propos du Groupe Banque TD

La Banque Toronto-Dominion et ses filiales sont désignées collectivement par l’appellation Groupe Banque TD (TD). La TD est la sixième banque en importance en Amérique du Nord d’après le nombre de succursales et elle offre ses services à environ 22 millions de clients. Ces services sont regroupés dans quatre principaux secteurs qui exercent leurs activités dans plusieurs centres financiers clés dans le monde : Services bancaires personnels et commerciaux au Canada, y compris TD Canada Trust et Financement auto TD au Canada; Gestion de patrimoine et Assurance, y compris Gestion de patrimoine TD et Placements directs TD, une participation dans TD Ameritrade, et TD Assurance; Services bancaires personnels et commerciaux aux États-Unis, y compris TD Bank, America’s Most Convenient Bank, et Financement auto TD aux États-Unis; et Services bancaires de gros, y compris Valeurs Mobilières TD. En outre, la TD figure parmi les principales sociétés de services financiers par Internet du monde, avec quelque 8 millions de clients du service en ligne et du service mobile. Au 30 avril 2013, les actifs de la TD totalisaient 826 milliards de dollars canadiens. La Banque Toronto-Dominion est inscrite à la Bourse de Toronto et à la Bourse de New York sous le symbole « TD ».

Pour obtenir plus de renseignements :

Tara Sirinyan
Groupe Banque TD
514-289-0265
tara.sirinyan@td.com

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