Le Groupe Banque TD présente les résultats du premier trimestre de 2011

TORONTO, le 3 mars /CNW/ - Le Groupe Banque TD (TD ou la Banque) a annoncé aujourd'hui ses résultats financiers pour le premier trimestre terminé le 31 janvier 2011. Dans l'ensemble, les résultats pour le trimestre reflètent les bénéfices records produits par les activités de détail au Canada et aux États-Unis. Au cours du trimestre, TD a également annoncé la conclusion d'une entente pour l'acquisition des Services financiers Chrysler qui devrait se conclure au cours du deuxième trimestre de l'exercice 2011 de TD, une fois qu'elle aura obtenu l'approbation des organismes réglementaires et satisfait aux autres modalités de clôture usuelles.

"Ce premier trimestre de TD marque un excellent départ pour l'exercice, avec des bénéfices rajustés records et une forte croissance des activités de détail des deux côtés de la frontière. Le total rajusté des bénéfices a atteint un nouveau sommet de 1,4 milliard de dollars, en hausse de 30 % par rapport à celui de la période correspondante de l'exercice précédent. Les Services bancaires de gros ont aussi connu un très bon trimestre, a déclaré Ed Clark, président et chef de la direction, TD. Nous sommes très heureux d'annoncer une hausse de 5 cents du dividende par action ordinaire payable en avril, confirmant ainsi notre confiance dans la capacité de notre modèle d'affaires de produire des bénéfices soutenus."

Services bancaires personnels et commerciaux au Canada

Les Services bancaires personnels et commerciaux au Canada ont produit des bénéfices de 905 millions de dollars pour le trimestre, en hausse de 26 % en regard de la période correspondante de l'exercice précédent. Les revenus ont monté de 5 %, tandis que la provision pour pertes sur créances a diminué de 32 %. Les volumes de TD Canada Trust (TDCT) ont affiché une solide croissance pour ce qui est des dépôts de particuliers et d'entreprises, des prêts immobiliers garantis, des prêts indirects et de l'assurance. Après la fin du trimestre, TDCT a commencé à offrir des services le dimanche dans plus de 300 succursales au Canada.

"Les Services bancaires personnels et commerciaux au Canada ont connu un autre trimestre record pendant que nous avons continué de tirer parti de notre leadership sur le plan du service à la clientèle et de la facilité d'accès, et de nos investissements dans notre réseau de succursales, a dit Tim Hockey, chef de groupe, Services bancaires canadiens et Assurance, TD. Nous prévoyons une très bonne année 2011, grâce aux solides rendements de toutes nos activités, en particulier l'assurance et les services bancaires. Toutefois, la croissance des bénéfices sur douze mois s'atténuera à partir du deuxième trimestre, freinée par le ralentissement de la croissance des volumes du côté des services bancaires aux particuliers et par la pression constante exercée sur les marges."

Gestion de patrimoine

Le bénéfice net de la division mondiale de gestion de patrimoine, qui exclut le placement comme présenté de TD dans TD Ameritrade, s'est établi à 133 millions de dollars pour le trimestre; cette hausse de 32 % par rapport à la période correspondante de l'exercice précédent est principalement le fait des revenus tirés des commissions, propulsés par l'augmentation des actifs des clients, du fort volume des transactions et de l'amélioration de la marge d'intérêt nette. L'apport de TD Ameritrade aux bénéfices du secteur s'est élevé à 48 millions de dollars, en hausse de 12 % en regard du trimestre correspondant de l'exercice précédent. En février, TD Ameritrade a annoncé que les actifs des clients avaient atteint le niveau record de 400 milliards de dollars US, poursuivant leur croissance vigoureuse des deux derniers exercices.

"Pour Gestion de patrimoine, ce solide trimestre a été le huitième consécutif de hausse du bénéfice, a dit Mike Pedersen, chef de groupe, Gestion de patrimoine, Canaux directs et Services partagés, TD. La vigueur des marchés boursiers a aussi contribué à la croissance des revenus, et nous avons continué à investir dans les infrastructures et dans les produits offerts à nos clients. Nous sommes en bonne position pour croître encore d'ici la fin de l'exercice, dans la mesure où les marchés se maintiennent aux niveaux actuels ou s'améliorent."

Services bancaires personnels et commerciaux aux États-Unis

Les Services bancaires personnels et commerciaux au États-Unis ont produit un bénéfice net comme présenté de 319 millions de dollars US pour le trimestre, en hausse de 85 % en regard du trimestre correspondant de l'exercice précédent. Le bénéfice net rajusté du secteur s'est établi à 332 millions de dollars US, en progression de 54 % sur le premier trimestre de l'exercice précédent. En dollars américains, les revenus ont augmenté de 28 % par rapport à ceux du trimestre correspondant de l'exercice précédent, entraînés par la solide croissance des prêts et des dépôts et stimulés par les acquisitions; l'augmentation a été en partie contrebalancée par une baisse des frais de découvert.

"TD Bank, la banque américaine la plus pratique, a atteint un record pour un premier trimestre, grâce à la forte croissance des prêts et des prêts hypothécaires et à une bonne dynamique de ventes croisées, a déclaré Bharat Masrani, chef de groupe, Services bancaires personnels et commerciaux aux États-Unis, TD. Comme l'économie se remet progressivement, nous percevons un regain d'optimisme chez les particuliers et les entreprises, ce qui nous fait prévoir une croissance continue des volumes en 2011. De plus, le rendement de nos récentes acquisitions est déjà meilleur que prévu."

Services bancaires de gros

Les Services bancaires de gros ont produit un bénéfice net comme présenté de 237 millions de dollars, en baisse de 36 % en regard du trimestre correspondant de l'exercice précédent. Les résultats records du trimestre correspondant de l'exercice précédent avaient profité de conditions de marché inhabituellement propices une fois que la crise financière a été traversée. La forte performance pour ce premier trimestre de 2011 s'explique par les résultats élevés atteints par toutes les gammes de services et par le niveau bas des provisions pour pertes sur créances.

"Nos services bancaires de gros ont produit d'excellents résultats pour le trimestre, dépassant leur objectif de rendement du capital, a dit Bob Dorrance, chef de groupe, Services bancaires de gros, TD. Les revenus de nos principales activités reflètent une modération de l'activité boursière, compensée par une hausse des revenus tirés des marchés financiers."

Siège social

Le secteur Siège social, qui comprend les autres activités de la Banque, a subi une perte nette comme présentée de 102 millions de dollars, en baisse de 18 millions de dollars, et une perte nette rajustée de 68 millions de dollars, en hausse de 35 millions de dollars par rapport à la période correspondante de l'exercice précédent.

Capital

Le ratio des fonds propres de première catégorie de TD a été de 12,7 % pour le trimestre, en hausse de 50 points de base par rapport au trimestre précédent. La qualité du capital est demeurée très élevée, les fonds propres de première catégorie représentant environ 80 % de l'avoir corporel en actions ordinaires.

Conclusion

"Nous sommes ravis des résultats remarquables de TD pour le trimestre. Ils prouvent encore que nous avons la bonne stratégie pour créer une croissance profitable à long terme, a dit M. Clark. Les nouveaux signes de reprise économique sont encourageants, même si les taux d'intérêt restent bas et que le cadre de réglementation laisse encore planer une certaine incertitude. Grâce à la forte situation de capital de TD, à nos investissements continus dans nos franchises et à l'efficacité confirmée de notre stratégie axée sur les services bancaires de détail, nous nous attendons à un excellent exercice 2011."

Le texte ci-dessus contient des énoncés prospectifs. Se reporter à la rubrique "Mise en garde à l'égard des énoncés prospectifs" à la page 3.

Avant sa publication, ce document a été revu par le comité de vérification de la Banque et approuvé par le conseil d'administration de la Banque, sur recommandation du comité de vérification.

NOTRE RENDEMENT

Présentation de l'information financière de la Banque

La Banque dresse ses états financiers consolidés intermédiaires selon les PCGR et désigne les résultats dressés selon les PCGR "comme présentés". La Banque utilise également des mesures financières non conformes aux PCGR pour obtenir les résultats "rajustés", afin d'évaluer chacun de ses secteurs d'activité et de mesurer son rendement global. Pour obtenir les résultats rajustés, la Banque retire les "éléments à noter", déduction faite des impôts sur les bénéfices, des résultats comme présentés. Les éléments à noter comprennent des éléments que la direction n'estime pas révélateurs du rendement de l'entreprise sous-jacente. La Banque croit que les résultats rajustés permettent au lecteur de mieux comprendre comment la direction évalue le rendement de la Banque. Les éléments à noter sont présentés dans le tableau de la page suivante. Comme expliqué, les résultats rajustés sont différents des résultats comme présentés selon les PCGR. Les résultats rajustés, les éléments à noter et les termes semblables utilisés dans le présent document ne sont pas définis aux termes des PCGR et, par conséquent, pourraient ne pas être comparables à des termes similaires utilisés par d'autres émetteurs.

Le tableau qui suit donne les résultats d'exploitation - comme présentés de la Banque.

Profit économique et rendement du capital investi

La Banque utilise le profit économique comme outil de mesure de la création de valeur pour l'actionnaire. Le profit économique représente le bénéfice net rajusté attribuable aux actionnaires ordinaires moins une imputation au titre du capital investi moyen. Le capital investi moyen est égal à l'avoir moyen en actions ordinaires pour la période plus le montant moyen cumulatif des écarts d'acquisition et des actifs incorporels, déduction faite des impôts, amortis à la date du bilan. Le taux utilisé pour l'imputation au titre du capital investi correspond au coût du capital calculé à l'aide du modèle d'évaluation des actifs financiers. L'imputation représente un rendement minimum présumé exigé par les actionnaires ordinaires sur le capital investi de la Banque. Le but de la Banque est de générer un profit économique positif et croissant.

Le rendement du capital investi (RCI) est obtenu en divisant le bénéfice net rajusté attribuable aux actionnaires ordinaires par le capital investi moyen. Le RCI est une variante de la mesure du profit économique qui s'avère utile comparativement au coût du capital. Le RCI et le coût du capital sont des pourcentages, tandis que le profit économique est exprimé en dollars. Si le RCI excède le coût du capital, le profit économique est positif. Le but de la Banque est de maximiser le profit économique en générant un RCI supérieur au coût du capital.

Le profit économique et le RCI sont des mesures financières non conformes aux PCGR, puisque ce ne sont pas des termes définis par les PCGR. Les lecteurs doivent prendre note que les bénéfices et d'autres mesures rajustés par rapport à une base autre que les PCGR n'ont pas de définition normalisée selon les PCGR et qu'ils pourraient donc ne pas être comparables à des termes similaires utilisés par d'autres émetteurs.

Le tableau ci-après présente un rapprochement du profit économique, du RCI et du bénéfice net rajusté attribuable aux actionnaires ordinaires. Les résultats rajustés, les éléments à noter et les termes connexes sont décrits à la rubrique "Présentation de l'information financière de la Banque" du présent document.

Événements importants en 2011

Entente en vue d'acquérir Services financiers Chrysler

Le 21 décembre 2010, la Banque annonçait la conclusion d'une entente avec Cerberus Capital Management, L.P. pour l'acquisition de la totalité des actions en circulation de Services financiers Chrysler pour une contrepartie au comptant d'environ 6,3 milliards de dollars US. L'acquisition devrait comprendre des actifs nets d'environ 5,9 milliards de dollars US et un écart d'acquisition de 0,4 milliard de dollars US à la clôture. En vertu des modalités de l'entente, TD Bank, N.A. acquerra Services financiers Chrysler aux États-Unis, et le Groupe Banque TD acquerra Services financiers Chrysler au Canada. Cette acquisition devrait se conclure au deuxième trimestre de l'exercice 2011, une fois qu'elle aura obtenu l'approbation des organismes réglementaires et satisfait aux autres modalités de clôture usuelles.

La transaction devrait avoir une incidence neutre sur le bénéfice rajusté de la Banque en 2011, et générera un bénéfice rajusté d'environ 100 millions de dollars US en 2012, soit la première année complète d'exploitation. À la conclusion de la transaction, l'incidence attendue sur le capital de première catégorie est d'environ 55 à 60 points de base (pdb) d'après la situation de capital de la Banque pour la période terminée le 31 janvier 2011(1).

Nouveautés législatives aux États-Unis

Le 21 juillet 2010, le président des États-Unis a ratifié la loi intitulée Dodd-Frank Wall Street Reform and Consumer Protection Act (la "loi Dodd-Frank") qui déclenche une vaste réforme du secteur financier aux États-Unis. Couvrant plus de 2 300 pages, la loi Dodd-Frank a une incidence sur toutes les institutions financières des États-Unis et sur de nombreux établissements financiers, y compris la Banque, qui mènent des activités en dehors des États-Unis. La loi Dodd-Frank entraîne d'importants changements, entre autres pour ce qui est de la supervision des services bancaires et des banques, d'un mécanisme de résolution visant les institutions financières d'importance systémique, de la protection des consommateurs, des valeurs mobilières, des dérivés et de la rémunération des cadres. La loi Dodd-Frank sera complétée par une foule de dispositions réglementaires, et un grand nombre d'études et de rapports continus dans la foulée de sa mise en œuvre. Par conséquent, même si la loi Dodd-Frank aura une incidence sur les affaires de la Banque, particulièrement sur ses activités aux États-Unis, les conséquences ultimes pour la Banque ne seront pas connues tant que les règlements de mise en œuvre n'auront pas été rendus publics et finalisés.

Les autres changements réglementaires comprennent les modifications apportées à la loi intitulée Electronic Funds Transfer Act (la "Regulation E"), laquelle interdit aux institutions financières d'imposer des frais aux consommateurs sur les opérations de paiement effectuées à un guichet automatique bancaire ou à un point de vente qui donnent lieu à un découvert, et à la loi intitulée Credit Card Act, qui, entre autres, limitera considérablement la capacité de la Banque à appliquer des taux d'intérêt et à imposer des frais basés sur le risque propre à un client. Pour plus d'informations sur l'incidence de la Regulation E et des autres modifications réglementaires, se reporter à "Services bancaires personnels et commerciaux aux États-Unis" sous la rubrique "Rapport de gestion des secteurs d'activité de TD" du présent rapport.

La Banque continue de surveiller de près l'évolution de ces questions et d'autres faits législatifs nouveaux et analysera l'incidence que pourraient avoir ces changements réglementaires et législatifs sur ses activités.

RAPPORT DE GESTION DES SECTEURS D'ACTIVITÉ DE TD

Aux fins de la présentation de l'information de gestion, l'exploitation et les activités de la Banque s'articulent autour de quatre principaux secteurs d'exploitation qui exercent leurs activités dans plusieurs centres financiers clés dans le monde : Services bancaires personnels et commerciaux au Canada, y compris TD Canada Trust et TD Assurance; Gestion de patrimoine, y compris TD Waterhouse et un placement dans TD Ameritrade; Services bancaires personnels et commerciaux aux États-Unis, y compris TD Bank, la banque américaine la plus pratique, et Services bancaires de gros, y compris Valeurs Mobilières TD. Les autres activités de la Banque sont regroupées au sein du secteur Siège social.

Avec prise d'effet au premier trimestre de 2011, les résultats d'exploitation et les prêts connexes pour les activités américaines de cartes de crédit ont été transférés des Services bancaires personnels et commerciaux au Canada aux Services bancaires personnels et commerciaux aux États-Unis aux fins de la présentation sectorielle. En outre, la Banque a apporté une modification à ses méthodes de répartition qui fait en sorte que certains éléments auparavant présentés dans le secteur Siège social sont maintenant attribués à d'autres secteurs. Cette modification n'a aucune incidence sur les états financiers consolidés intermédiaires de la Banque. Les résultats des périodes antérieures n'ont pas été retraités. Ces changements sont désignés comme "transferts entre les secteurs" partout dans le présent document. Se reporter à la rubrique "Transferts entre les secteurs" du présent document pour plus de détails.

Les résultats de chaque secteur reflètent les revenus, les frais, les actifs et les passifs du secteur. La Banque mesure et évalue le rendement de chaque secteur d'après les résultats rajustés, le cas échéant, et, pour ces secteurs, la Banque indique que la mesure est rajustée. L'amortissement des frais liés aux actifs incorporels est compris dans le secteur Siège social. Par conséquent, le bénéfice net des secteurs d'exploitation est présenté avant l'amortissement des actifs incorporels, ainsi que tout autre élément à noter non attribué aux secteurs d'exploitation. Pour de l'information détaillée, consulter la rubrique "Présentation de l'information financière de la Banque", la rubrique "Description des activités" du rapport de gestion 2010 et la note 33 afférente aux états financiers consolidés de 2010. Pour de l'information sur les mesures du profit économique et du rendement du capital investi de la Banque, lesquelles sont des mesures financières non conformes aux PCGR, se reporter à la rubrique "Notre rendement" du présent document.

Le revenu d'intérêts net au sein des Services bancaires de gros est présenté en équivalence fiscale, ce qui signifie que la valeur des bénéfices non imposables ou exonérés d'impôt, tels que les dividendes, est rajustée à la valeur équivalente avant impôts. L'équivalence fiscale permet à la Banque de mesurer le revenu tiré de toutes les valeurs mobilières et de tous les prêts de manière uniforme. Elle fournit en outre des éléments de comparaison plus significatifs du revenu d'intérêts net avec celui d'institutions semblables. La hausse en équivalence fiscale du revenu d'intérêts net et de la charge d'impôts sur les bénéfices présentée dans le secteur Services bancaires de gros est renversée dans le secteur Siège social. Le rajustement de l'équivalence fiscale pour le trimestre s'est établi à 87 millions de dollars, en regard de 96 millions de dollars pour le premier trimestre de l'exercice précédent et de 117 millions de dollars pour le trimestre précédent.

La Banque titrise des prêts de détail et des débiteurs et comptabilise un gain ou une perte à la vente, y compris la constatation d'un actif lié aux droits conservés. Les pertes sur créances subies à l'égard des droits conservés après titrisation sont comptabilisées à titre de charge dans les revenus autres que d'intérêts dans les états financiers consolidés intermédiaires de la Banque. Aux fins de la présentation sectorielle, la provision pour pertes sur créances liée aux volumes titrisés est incluse dans les Services bancaires personnels et commerciaux au Canada, mais est renversée dans le secteur Siège social et reclassée à titre de charge dans les revenus autres que d'intérêts afin de respecter les PCGR.

Le bénéfice net des Services bancaires personnels et commerciaux au Canada a été de 905 millions de dollars pour le trimestre, soit une augmentation de 185 millions de dollars, ou 26 %, par rapport au premier trimestre de l'exercice précédent. Le rendement annualisé du capital investi pour le trimestre a été de 39,1 %, contre 31,3 % au premier trimestre de l'exercice précédent.

Les revenus du secteur Services bancaires personnels et commerciaux au Canada proviennent des services bancaires aux particuliers, des services bancaires aux entreprises et des activités d'assurance. Les revenus pour le trimestre ont atteint 2 664 millions de dollars, soit une progression de 125 millions de dollars, ou 5 % (7 % compte non tenu des transferts entre les secteurs), comparativement au premier trimestre de l'exercice précédent, en raison principalement d'une forte croissance des volumes de dépôts de particuliers et d'entreprises, des prêts immobiliers garantis, des prêts indirects et de l'assurance. Par rapport au premier trimestre de l'exercice précédent, le volume de prêts immobiliers garantis, y compris les actifs titrisés, a augmenté de 15,3 milliards de dollars, ou 9 %, tandis que le volume des prêts à la consommation s'est accru de 2,0 milliards de dollars, ou 7 %. Le volume des prêts aux entreprises et des acceptations a augmenté de 2,5 milliards de dollars, ou 8 %. Le volume des dépôts de particuliers a monté de 6,9 milliards de dollars, ou 5 %, et celui des dépôts d'entreprises, de 5,6 milliards de dollars, ou 11 %. Les primes brutes d'assurance souscrites ont grimpé de 53 millions de dollars, ou 8 %, par rapport au premier trimestre de l'exercice précédent. La marge sur les actifs productifs moyens a reculé de 11 pdb pour s'établir à 2,82 % par rapport au premier trimestre de l'exercice précédent, dont 8 pdb sont attribuables aux transferts entre les secteurs.

La provision pour pertes sur créances a été de 213 millions de dollars pour le trimestre considéré, soit un repli de 102 millions de dollars, ou 32 % (27 % compte non tenu des transferts entre les secteurs), par rapport au premier trimestre de l'exercice précédent. La provision pour pertes sur créances des services bancaires aux particuliers s'est établie à 206 millions de dollars, soit une baisse de 71 millions de dollars, ou 26 %, qui s'explique principalement par les conditions de crédit plus favorables qui ont résulté de l'amélioration du contexte économique et de l'emploi. La provision pour pertes sur créances des services bancaires aux entreprises a atteint 7 millions de dollars, en baisse de 31 millions de dollars, ou 82 %. La provision annualisée pour pertes sur créances, exprimée en pourcentage du volume de prêts, s'est établie à 0,33 %, en baisse de 18 pdb en regard du premier trimestre de l'exercice précédent. Les prêts douteux nets ont atteint 570 millions de dollars, en hausse de 60 millions de dollars, ou 12 %, en regard du premier trimestre de l'exercice précédent. Les prêts douteux nets des services bancaires commerciaux sont demeurés relativement bas, dans une large mesure grâce à une gestion active. Les prêts douteux nets exprimés en pourcentage ont représenté 0,22 % du total des prêts comparativement à 0,21 % au 31 janvier 2010.

Les frais autres que d'intérêts pour le trimestre ont atteint 1 212 millions de dollars, en hausse de 18 millions de dollars, ou 2 %, par rapport au premier trimestre de l'exercice précédent, en raison essentiellement de l'augmentation de la rémunération de l'effectif et des coûts liés aux projets.

Le nombre moyen d'équivalents temps plein (ETP) a monté de 1 036, ou 3 %, par rapport au premier trimestre de l'exercice précédent, ce qui traduit l'investissement soutenu dans nos activités. Le ratio d'efficience pour le trimestre s'est amélioré, atteignant 45,5 %, comparativement à 47,0 % pour le premier trimestre de l'exercice précédent.

Le bénéfice net des Services bancaires personnels et commerciaux au Canada pour le trimestre a enregistré une hausse de 132 millions de dollars, ou 17 %, en regard du trimestre précédent. Le rendement annualisé du capital investi pour le trimestre a été de 39,1 %, contre 32,9 % pour le trimestre précédent.

Les revenus pour le trimestre ont diminué de 4 millions de dollars par rapport à ceux du trimestre précédent, surtout en raison des transferts entre les secteurs. La marge sur les actifs productifs moyens a reculé de 9 pdb pour s'établir à 2,82 %, dont 8 pdb sont attribuables aux transferts entre les secteurs. Par rapport au trimestre précédent, le volume de prêts immobiliers garantis, y compris les actifs titrisés, s'est accru de 3,4 milliards de dollars, ou 2 %, et celui des prêts aux entreprises et des acceptations, de 0,8 milliard de dollars, ou 3 %, alors que le volume des prêts à la consommation a baissé de 0,6 milliard de dollars, ou 2 %, surtout du fait des transferts entre les secteurs. Le volume des dépôts de particuliers a monté de 0,9 milliard de dollars, ou 1 %, et celui des dépôts d'entreprises, de 1,5 milliard de dollars, ou 3 %. Les primes brutes d'assurance souscrites ont diminué de 117 millions de dollars, ou 14 %.

La provision pour pertes sur créances pour le trimestre a baissé de 26 millions de dollars, ou 11 %, dont 16 millions de dollars sont liés aux transferts entre les secteurs. La provision pour pertes sur créances des services aux particuliers a diminué de 15 millions de dollars, ou 7 %, tandis que celle des services bancaires aux entreprises a été réduite de 11 millions de dollars, ou 61 %. Les prêts douteux nets ont augmenté de 17 millions de dollars, ou 3 %, en regard du trimestre précédent. Les prêts douteux nets exprimés en pourcentage ont représenté 0,22 % du total des prêts comparativement à 0,21 % au 31 octobre 2010.

Les frais autres que d'intérêts pour le trimestre ont baissé de 119 millions de dollars, ou 9 %, en regard du trimestre précédent. La hausse des frais liés à la rémunération de l'effectif pour le trimestre considéré a été plus que contrebalancée par les diminutions attribuables aux frais liés aux investissements faits au cours du dernier trimestre et à la hausse des dépenses de projets. Les transferts entre les secteurs ont également contribué à cette baisse.

Le nombre moyen d'ETP a subi une compression de 530 postes, ou 2 %, surtout en raison des transferts entre les secteurs et d'autres transferts internes. Compte non tenu des transferts, le nombre moyen d'ETP est essentiellement stable. Le ratio d'efficience pour le trimestre considéré s'est amélioré pour s'établir à 45,5 %, contre 49,9 % au trimestre précédent.

Tout en continuant de profiter de notre leadership pour les heures d'ouverture des succursales et de nos investissements soutenus dans notre réseau, nous nous attendons à ce que le taux de croissance des bénéfices ralentisse pendant le reste de l'exercice. La forte croissance des affaires sous-jacentes d'assurances et de services bancaires commerciaux, combinée aux marges en progression de nos activités d'assurances, devrait être en partie neutralisée par un ralentissement de la croissance des volumes et une pression soutenue sur les marges des services bancaires personnels. Bien que nous prévoyions que les pertes sur créances resteront stables en 2011, la croissance des frais au cours des deux prochains trimestres devrait être plus forte qu'à l'exercice précédent puisque nous axons nos investissements continus sur des initiatives stratégiques visant à soutenir la croissance future.

Le bénéfice net pour le secteur Gestion de patrimoine a été de 181 millions de dollars pour le trimestre, soit une augmentation de 37 millions de dollars, ou 26 %, par rapport au premier trimestre de l'exercice précédent. Le bénéfice net de la division mondiale de gestion de patrimoine, compte non tenu de TD Ameritrade, a été de 133 millions de dollars, soit une hausse de 32 millions de dollars ou 32 %. Le placement comme présenté de la Banque dans TD Ameritrade a dégagé un bénéfice net de 48 millions de dollars pour le trimestre, soit une augmentation de 5 millions de dollars, ou 12 %, par rapport au premier trimestre de l'exercice précédent. Cette augmentation tient surtout à la hausse des bénéfices de TD Ameritrade, attribuable à une croissance vigoureuse et soutenue des actifs. Pour son premier trimestre terminé le 31 décembre 2010, TD Ameritrade a affiché un bénéfice net de 145 millions de dollars US, soit une progression de 9 millions de dollars US, ou 7 %, comparativement au premier trimestre de l'exercice précédent. Le rendement annualisé du capital investi de Gestion de patrimoine pour le trimestre a été de 16,3 %, comparativement à 12,7 % pour le premier trimestre de l'exercice précédent.

Les revenus de Gestion de patrimoine proviennent des activités de courtage en ligne, des activités de conseil et des services de gestion de placements. Les revenus de la division mondiale de gestion de patrimoine ont été de 687 millions de dollars pour le trimestre, soit une hausse de 97 millions de dollars, ou 16 %, par rapport au premier trimestre de l'exercice précédent. La hausse s'explique essentiellement par l'accroissement des actifs administrés et des actifs gérés, qui a entraîné une forte croissance des revenus tirés des commissions dans les activités de conseil et de gestion de placements, l'augmentation des soldes des dépôts et des prêts sur marge consentis aux clients, jumelée à l'amélioration de la marge d'intérêt nette, et la hausse des volumes de négociation dans les activités de courtage en ligne.

Les frais autres que d'intérêts pour le trimestre ont été de 501 millions de dollars, en hausse de 55 millions de dollars, ou 12 %, par rapport au premier trimestre de l'exercice précédent. Cette augmentation tient surtout à la hausse de la rémunération variable, aux commissions de suivi entraînées par la croissance des revenus attribuable à l'augmentation des niveaux d'actifs dans les activités de conseil et les activités de gestion de placements, et aux dépenses de projets non récurrentes.

Le nombre moyen d'ETP a augmenté de 201, ou 3 %, en regard du premier trimestre de l'exercice précédent, surtout par suite de la hausse des ETP de soutien affectés à l'infrastructure et à la croissance de l'entreprise et de l'augmentation des ETP en contact direct avec la clientèle, le tout en partie contrebalancé par la fermeture des activités de consultation financière aux États-Unis à l'exercice précédent. Le ratio d'efficience pour le trimestre considéré s'est amélioré pour s'établir à 72,9 %, contre 75,6 % pour le premier trimestre de l'exercice précédent.

Les actifs administrés, qui totalisaient 242 milliards de dollars au 31 janvier 2011, ont augmenté de 42 milliards de dollars, ou 21 %, en regard du 31 janvier 2010. Les actifs gérés, qui totalisaient 186 milliards de dollars au 31 janvier 2011, ont augmenté de 14 milliards de dollars, ou 8 %, en regard du 31 janvier 2010. Ces augmentations s'expliquent par l'appréciation des marchés et les nouveaux actifs nets de clients.

Le bénéfice net de Gestion de patrimoine pour le trimestre a enregistré une hausse de 30 millions de dollars, ou 20 %, comparativement au trimestre précédent. Le bénéfice net de la division mondiale de gestion de patrimoine a monté de 15 millions de dollars, ou 13 %. Le placement comme présenté de la Banque dans TD Ameritrade a reflété une croissance du bénéfice net de 15 millions de dollars, ou 45 %, en regard du trimestre précédent, qui provient de l'augmentation des bénéfices de TD Ameritrade. Pour son premier trimestre terminé le 31 décembre 2010, TD Ameritrade a affiché un bénéfice net en progression de 31 millions de dollars US, ou 27 %, par rapport au trimestre précédent. Le rendement annualisé du capital investi de Gestion de patrimoine pour le trimestre a été de 16,3 %, comparativement à 13,5 % pour le trimestre précédent.

Les revenus pour le trimestre ont monté de 48 millions de dollars en regard du trimestre précédent, essentiellement sous l'effet de l'augmentation des volumes de négociation dans les activités de courtage en ligne, de la hausse des revenus tirés des commissions découlant de l'accroissement des actifs de clients, et de l'amélioration de la marge d'intérêt nette.

Les frais autres que d'intérêts se sont accrus de 33 millions de dollars, ou 7 %, en regard du trimestre précédent du fait de la hausse de la rémunération de l'effectif par suite de l'augmentation du nombre d'ETP, d'une hausse de la rémunération variable, et des dépenses de projets non récurrentes. L'augmentation de la rémunération de l'effectif a aussi entraîné une hausse des coûts des avantages sociaux.

Le nombre moyen d'ETP a augmenté de 235 par rapport au trimestre précédent, surtout du fait de l'augmentation des volumes découlant de la croissance de l'entreprise et de la hausse des ETP de soutien affectés à l'infrastructure. Le ratio d'efficience pour le trimestre considéré a été de 72,9 %, contre 73,2 % au trimestre précédent.

Au 31 janvier 2011, les actifs administrés avaient augmenté de 17 milliards de dollars en regard du 31 octobre 2010. Au 31 janvier 2011, les actifs gérés avaient augmenté de 3 milliards de dollars en regard du 31 octobre 2010. Cette hausse s'explique par l'appréciation des marchés et les nouveaux actifs nets de clients.

La vigueur des marchés boursiers a stimulé la croissance des revenus au cours du trimestre considéré. Les bénéfices devraient continuer à croître en 2011 si les marchés demeurent vigoureux. De plus, nous continuerons d'investir dans notre infrastructure et nos produits et nous augmenterons notre effectif de vente.

Le bénéfice net comme présenté des Services bancaires personnels et commerciaux aux États-Unis, en dollars canadiens, pour le trimestre s'est établi à 320 millions de dollars, soit un bond de 139 millions de dollars, ou 77 %, et le bénéfice net rajusté a été de 333 millions de dollars, soit une progression de 106 millions de dollars, ou 47 %, comparativement au premier trimestre de l'exercice précédent. En dollars américains, le bénéfice net comme présenté a été de 319 millions de dollars pour le trimestre considéré, en hausse de 147 millions de dollars, ou 85 %, et le bénéfice net rajusté a été de 332 millions de dollars, en hausse de 116 millions de dollars, ou 54 %, par rapport au premier trimestre de l'exercice précédent. Le bénéfice du trimestre comprend aussi l'incidence d'un élément fiscal favorable de 24 millions de dollars. Au cours du trimestre considéré, certaines augmentations compensatoires sont survenues dans le revenu d'intérêt net et les provisions pour pertes sur créances comptabilisées pour les titres de créance classés comme prêts, ce qui a donné lieu à une incidence minimale sur les bénéfices.

L'appréciation du dollar canadien par rapport au dollar américain a entraîné une baisse du bénéfice net comme présenté et rajusté respectivement de 14 millions de dollars et 15 millions de dollars, pour le trimestre considéré. Le rendement annualisé du capital investi pour le trimestre a été de 7,4 %, contre 5,0 % au premier trimestre de l'exercice précédent.

En dollars américains, les revenus ont été de 1 387 millions de dollars US pour le trimestre, soit une hausse de 300 millions de dollars US, ou 28 %, comparativement au premier trimestre de l'exercice précédent. La hausse tient principalement à la forte croissance des prêts et des dépôts, aux acquisitions récentes ainsi qu'aux transferts entre les secteurs, en partie contrebalancés par la baisse des frais de découvert attribuables à la Regulation E. La marge sur les actifs productifs moyens a gagné 35 pdb pour s'établir à 3,76 % en regard du premier trimestre de l'exercice précédent, surtout par suite d'un changement dans le calendrier des flux de trésorerie attendus sur certains titres de créance classés comme prêts. Les prêts moyens ont grimpé de 12,7 milliards de dollars US, ou 24 %, y compris les acquisitions. Compte non tenu des acquisitions ni des transferts entre les secteurs, les prêts moyens ont monté de 4,6 milliards de dollars US, ou 9 %, la moyenne des prêts aux particuliers ayant augmenté de 2,9 milliards de dollars US, ou 15 %, surtout par suite d'une hausse de 2,3 milliards de dollars US des prêts hypothécaires résidentiels et de l'augmentation de la moyenne des prêts aux entreprises de 1,7 milliard de dollars US, ou 5 %. Les dépôts moyens se sont accrus de 26,9 milliards de dollars US, ou 23 %, y compris les acquisitions. Compte non tenu des acquisitions, les dépôts moyens ont monté de 18,1 milliards de dollars US, ou 16 %, y compris une augmentation de 10,2 milliards de dollars US des comptes de dépôt assurés de TD Ameritrade. Le volume moyen des dépôts, compte non tenu de l'incidence des acquisitions et des comptes de dépôt assurés de TD Ameritrade, a progressé de 5,8 milliards de dollars US, ou 7 %. Les volumes de dépôts d'entreprises (compte non tenu des dépôts des gouvernements) ont monté de 3,0 milliards de dollars US, ou 11 %, les volumes de dépôts des gouvernements étant demeurés essentiellement stables, et les volumes de dépôts des particuliers ayant grimpé de 2,9 milliards de dollars US, ou 7 %.

Le total de la provision pour pertes sur créances pour le trimestre s'est établie à 202 millions de dollars US, soit une augmentation de 11 millions de dollars US, ou 6 %, en regard du premier trimestre de l'exercice précédent. Cette augmentation se compose d'une diminution de la provision pour pertes sur créances à l'égard des prêts de 46 millions de dollars US et d'une hausse de la provision pour pertes sur créances à l'égard des titres de créance classés comme prêts de 57 millions de dollars US. La provision pour pertes sur créances à l'égard des prêts pour le trimestre s'est établie à 136 millions de dollars US, soit une diminution de 46 millions de dollars US, ou 25 %, en regard du premier trimestre de l'exercice précédent. La diminution de la provision pour pertes sur créances à l'égard des prêts résulte de la baisse des radiations et du meilleur rendement du portefeuille de prêts. La provision pour pertes sur créances à l'égard des titres de créance classés comme prêts se rapporte principalement à des obligations garanties par une hypothèque non liées à des organismes et s'élevait à 66 millions de dollars US pour le trimestre par rapport à 9 millions de dollars US pour le premier trimestre de l'exercice précédent. L'augmentation de la provision pour pertes sur créances à l'égard des obligations garanties par une hypothèque non liées à des organismes reflète la faiblesse du marché de l'habitation américain. La provision annualisée pour pertes sur créances à l'égard des prêts exprimée en pourcentage du volume des prêts s'est établie à 0,82 %, soit 54 pdb de moins qu'au premier trimestre de l'exercice précédent. La provision pour pertes sur créances annualisée exprimée en pourcentage du volume de prêts aurait été de 0,73 % compte non tenu des transferts entre les secteurs, soit une baisse de 63 pdb par rapport au premier trimestre de l'exercice précédent. Les prêts douteux nets, compte non tenu des titres de créance classés comme prêts qui sont douteux, se sont inscrits à 1 174 millions de dollars US, soit une hausse de 156 millions de dollars US, ou 15 %, en regard du premier trimestre de l'exercice précédent, qui s'explique par les nouveaux prêts douteux nés sur le marché immobilier commercial américain, à cause du ralentissement de la reprise économique aux États-Unis, et les transferts entre les secteurs. Les prêts douteux nets, compte non tenu des titres de créance classés comme prêts et des prêts assurés (actifs acquis aux termes d'un accord de partage des pertes conclu avec la FDIC), exprimés en pourcentage du total des prêts, ont représenté 1,8 %, contre 1,9 % au 31 janvier 2010. Les titres de créance douteux nets classés comme prêts atteignaient 1 567 millions de dollars US au 31 janvier 2011, soit une augmentation de 1 253 millions de dollars US par rapport au 31 janvier 2010. L'augmentation des prêts douteux nets à l'égard des titres de créance classés comme prêts tient au fait que la valeur comptable des titres est présentée comme ayant subi une perte, même si la provision pour pertes sur créances n'est comptabilisée que pour l'augmentation des pertes sur créances prévues, laquelle est nettement moindre en raison du rang élevé des titres détenus.

Les frais autres que d'intérêts comme présentés pour le trimestre ont été de 805 millions de dollars US, en hausse de 96 millions de dollars US, par rapport au premier trimestre de l'exercice précédent. Les frais autres que d'intérêts rajustés pour le trimestre se sont établis à 784 millions de dollars US, soit une hausse de 143 millions de dollars US, ou 22 %, amenée surtout par les investissements effectués dans l'entreprise principale, y compris les frais relatifs aux nouvelles succursales, les acquisitions récentes et les transferts entre les secteurs.

Le nombre moyen d'ETP s'est accru de 3 765, ou 20 %, en regard du premier trimestre de l'exercice précédent. Cet accroissement tient aux acquisitions, à l'inclusion des transferts entre les secteurs et à l'ouverture de 34 nouvelles succursales depuis le premier trimestre de l'exercice précédent. Le ratio d'efficience comme présenté pour le trimestre s'est amélioré pour s'établir à 58,2 % alors qu'il était de 65,2 % au premier trimestre de l'exercice précédent. Le ratio d'efficience rajusté pour le trimestre s'est amélioré pour s'établir à 56,6 %, par rapport à 58,9 % pour le premier trimestre de l'exercice précédent.

En dollars canadiens, le bénéfice net comme présenté des Services bancaires personnels et commerciaux aux États-Unis pour le trimestre a enregistré une hausse de 55 millions de dollars, ou 21 %, et le bénéfice net rajusté a augmenté de 50 millions de dollars, ou 18 %, comparativement au trimestre précédent. Le rendement annualisé du capital investi pour le trimestre a été de 7,4 %, contre 6,3 % pour le trimestre précédent.

En dollars américains, les revenus pour le trimestre ont grimpé de 204 millions de dollars US, ou 17 %, comparativement au trimestre précédent, essentiellement par suite de l'accroissement des volumes de produits. La marge sur les actifs productifs moyens a gagné 26 pdb pour s'établir à 3,76 % par rapport au trimestre précédent, résultat surtout du calendrier des flux de trésorerie sur certains titres de créance qui sont classés comme prêts. Les prêts moyens ont augmenté de 6,0 milliards de dollars US, ou 10 %, par rapport au trimestre précédent. Compte non tenu de l'acquisition de South Financial et des transferts entre les secteurs, les prêts moyens ont monté de 1,9 milliard de dollars US, ou 3 %, la moyenne des prêts aux particuliers ayant augmenté de 1,2 milliard de dollars US, ou 6 %, et la moyenne des prêts aux entreprises, de 0,5 milliard de dollars, ou 2 %. Les dépôts moyens ont progressé de 9,2 milliards de dollars US, ou 7 %, en regard du trimestre précédent, y compris une hausse de 2,1 milliards de dollars US des dépôts moyens de TD Ameritrade. Le volume moyen des dépôts, compte non tenu de l'incidence des comptes de dépôt assurés de TD Ameritrade ni de l'acquisition de South Financial, s'est accru de 1,3 milliard de dollars US, ou 2 %, le volume des dépôts d'entreprises (compte non tenu des dépôts des gouvernements) ayant augmenté de 1 %, les dépôts des gouvernements ayant légèrement fléchi et le volume des dépôts des particuliers s'étant hissé de 3 %.

Le total de la provision pour pertes sur créances pour le trimestre a enregistré une hausse de 60 millions de dollars US, ou 42 %, en regard du trimestre précédent. La provision pour pertes sur créances à l'égard des titres de créance classés comme prêts a augmenté de 53 millions de dollars US par rapport au trimestre précédent. La hausse de la provision pour pertes sur créances à l'égard des titres de créance classés comme prêts découle surtout de l'augmentation de la provision pour pertes sur créances à l'égard des obligations garanties par une hypothèque non liées à des organismes, lesquelles ont augmenté en raison de la fragilité du marché de l'habitation aux États-Unis. La provision annualisée pour pertes sur créances à l'égard des prêts, exprimée en pourcentage du volume de prêts, s'est établie à 0,82 %, en baisse de 3 pdb en regard du trimestre précédent. La provision annualisée pour pertes sur créances à l'égard des prêts, exprimée en pourcentage du volume de prêts, aurait été de 0,73 % compte non tenu des transferts entre les secteurs, soit une baisse de 12 pdb par rapport au trimestre précédent. Les prêts douteux nets, compte non tenu des titres de créance classés comme prêts qui sont douteux, ont totalisé 1 174 millions de dollars US, soit une augmentation de 78 millions de dollars US, ou 4 %, en regard du trimestre précédent. Cette augmentation s'explique en grande partie par les nouveaux prêts douteux et par la baisse des niveaux de radiations. Les prêts douteux nets, compte non tenu des titres de créance classés comme prêts ni des prêts assurés (actifs acquis aux termes d'un accord de partage des pertes conclu avec la FDIC), exprimés en pourcentage du total des prêts, ont représenté 1,76 %, contre 1,75 % au 31 octobre 2010. Les titres de créance douteux classés comme prêts ont totalisé 1 567 millions de dollars US, soit une hausse de 557 millions de dollars US, ou 55 %, en regard du trimestre précédent. La hausse d'un trimestre à l'autre cadre avec les attentes de la direction.

Les frais autres que d'intérêts comme présentés pour le trimestre ont été de 64 millions de dollars US, ou 9 %, plus élevés qu'au trimestre précédent. Les frais autres que d'intérêts rajustés pour le trimestre ont monté de 70 millions de dollars US, ou 10 %, conséquence surtout de la récente acquisition de South Financial, des transferts entre les secteurs et des nouvelles succursales.

Le nombre moyen d'ETP s'est accru de 1 778, ou 8 %, en regard du trimestre précédent, sous l'effet surtout de l'acquisition de South Financial et des nouvelles succursales. Le ratio d'efficience rajusté pour le trimestre s'est amélioré pour s'établir à 58,2 %, par rapport à 62,6 % pour l'exercice précédent. Le ratio d'efficience rajusté pour le trimestre s'est amélioré pour s'établir à 56,6 %, par rapport à 60,4 % pour l'exercice précédent.

La croissance des prêts a cadré avec nos attentes au premier trimestre de 2011 et devrait se poursuivre pendant l'exercice 2011, attisée par les prêts hypothécaires résidentiels et les prêts commerciaux. La croissance interne des dépôts devrait continuer d'être stimulée par les succursales existantes. Selon nos prévisions de croissance, nos bénéfices trimestriels nets devraient s'inscrire autour de 300 millions de dollars US pour le reste de l'exercice. Bien que l'incidence de la Regulation E ait été entièrement intégrée dans les bénéfices à compter du trimestre considéré, le Durbin Amendment, disposition de la loi Dodd-Frank, pourrait faire davantage pression sur les bénéfices. Selon la loi Dodd-Frank, la Réserve fédérale est chargée d'établir des commissions d'interchange qui sont raisonnables et proportionnelles aux coûts de traitement des opérations. Comme proposées, les limites à appliquer aux commissions d'interchange sur les débits devraient réduire de façon considérable les revenus d'interchange tirés des cartes de débit. Le projet de règlements a été publié aux fins de consultation, et son incidence financière ne peut être déterminée pour le moment. Toutefois, des stratégies d'atténuation sont en cours d'élaboration afin de récupérer l'incidence défavorable possible sur les revenus que pourrait avoir la mise en œuvre de la nouvelle réglementation.

Le bénéfice net du secteur Services bancaires de gros pour le trimestre a été de 237 millions de dollars, en baisse de 135 millions de dollars, ou 36 %, par rapport au record atteint au premier trimestre de l'exercice précédent. La baisse reflète l'écart par rapport au contexte inhabituellement favorable qui prévalait au trimestre correspondant de l'exercice précédent. Les conditions de marché normalisées du trimestre considéré ont donné lieu à un repli des activités de transaction d'instruments à taux fixe et d'instruments de crédit ainsi qu'à une diminution des prêts aux grandes entreprises. Ces baisses ont été en partie compensées par les gains du portefeuille de placement. Le rendement annualisé du capital investi pour le trimestre a été de 29,4 %, contre 45,2 % pour le premier trimestre de l'exercice précédent.

Les revenus des Services bancaires de gros sont principalement tirés des activités relatives aux marchés financiers et des prêts aux grandes entreprises. Les revenus ont été de 727 millions de dollars pour le trimestre considéré, soit 186 millions de dollars, ou 20 %, de moins qu'au premier trimestre de l'exercice précédent, qui avait été excellent. À l'exercice précédent, les conditions de marché favorables, qui étaient caractérisées par le resserrement des écarts de crédit et par l'activité accrue de la clientèle, avaient donné lieu à un rendement général solide et avaient permis de modifier un nombre de transactions ou d'en sortir d'une manière profitable. Les résultats des activités de transaction pour le trimestre reflètent un repli de l'activité induite par les clients du fait des conditions de marché plus modérées, qui sont dues à une diminution des possibilités de transactions et à un resserrement de l'écart acheteur-vendeur. Les transferts entre les secteurs et la diminution des volumes de prêts aux grandes entreprises, à mesure que les clients se tournent vers d'autres formes de financement, ont aussi contribué à la baisse des revenus. Ces baisses des revenus d'un exercice à l'autre ont été en partie compensées par des gains réalisés sur l'abandon du portefeuille d'actions de sociétés fermées, ce qui contraste avec l'activité restreinte notée au premier trimestre de l'exercice précédent, et par l'accroissement des honoraires de prise ferme attribuable aux activités d'émission des clients, stimulées par les bas taux d'intérêt et les marchés boursiers en mode reprise.

La provision pour pertes sur créances comprend les provisions spécifiques pour pertes sur créances et le coût de la protection de crédit, déduction faite de tout recouvrement sur les provisions comptabilisées par le passé. S'inscrivant à 6 millions de dollars, la provision pour pertes sur créances pour le trimestre a été légèrement inférieure à celle du premier trimestre de l'exercice précédent. La provision pour pertes sur créances des deux trimestres se limite essentiellement aux coûts de protection de crédit. Les prêts douteux nets ont atteint 36 millions de dollars, en baisse de 109 millions de dollars, ou 75 %, en regard du premier trimestre de l'exercice précédent.

Les frais autres que d'intérêts pour le trimestre se sont établis à 391 millions de dollars, soit 15 millions de dollars, ou 4 %, de plus qu'au premier trimestre de l'exercice précédent, en raison de l'augmentation des frais relatifs à l'infrastructure de gestion des risques et de contrôle, contrebalancée en partie par la diminution de la rémunération variable proportionnelle à la baisse des revenus.

Le bénéfice net comme présenté des Services bancaires de gros pour le trimestre a bondi de 142 millions de dollars, ou 149 %, et le bénéfice net rajusté a monté de 21 millions de dollars, ou 10 %, en regard du trimestre précédent. L'augmentation du bénéfice net rajusté est principalement attribuable aux gains du portefeuille d'actions de sociétés fermées et à la diminution des provisions pour pertes sur créances, en partie neutralisés par des frais accrus. Le rendement annualisé du capital investi pour le trimestre a été de 29,4 %, contre 25,6 % pour le trimestre précédent.

Les revenus pour le trimestre ont augmenté de 50 millions de dollars, ou 7 %, par rapport au trimestre précédent, en raison surtout des gains du portefeuille d'actions de sociétés fermées. Les revenus tirés des transactions d'instruments à taux fixe et d'instruments de crédit ont progressé du fait de la recrudescence des activités de transaction des clients à l'échelle internationale, à mesure que les préoccupations à l'égard des marchés du crédit en Europe s'estompaient. Cette progression a été en partie neutralisée par l'incidence positive, au trimestre précédent, de la réduction du risque de crédit de la contrepartie à des instruments dérivés, résultant du resserrement des écarts de crédit, et par la diminution du revenu d'intérêts net au trimestre considéré attribuable aux transferts entre les secteurs. Les revenus tirés des titres liquides ont augmenté, attisés par la hausse des commissions à mesure que les marchés boursiers ont continué de remonter, alors que les revenus tirés des dérivés sur actions ont reculé sous l'effet de la baisse des revenus liés aux transactions avec des clients. Les commissions de prise ferme ont augmenté sous l'effet, essentiellement, du regain des activités d'émission d'actions et de la vigueur soutenue des activités de montage de titres de créance, en partie contrebalancés par le repli des honoraires tirés des services-conseils et des opérations de fusion et d'acquisition.

La provision pour pertes sur créances pour le trimestre a baissé de 17 millions de dollars en regard du trimestre précédent, ce qui s'explique surtout par une provision pour placements dans des titres de participation privés qui avait été constituée au trimestre précédent. Les prêts douteux nets ont reculé de 6 millions de dollars, ou 14 %, par rapport au trimestre précédent.

Les frais autres que d'intérêts pour le trimestre ont monté de 67 millions de dollars, ou 21 %, comparativement au trimestre précédent, conséquence surtout de la rémunération variable.

Dans l'ensemble, grâce à l'investissement soutenu dans notre entreprise et notre stratégie axée sur les clients, nous croyons occuper une position enviable pour l'avenir. Cependant, les marchés financiers laissant entrevoir une stabilité prolongée, la robustesse des revenus tirés des montages et des activités de fusions et d'acquisitions devrait se maintenir. Le revenu de transaction en tirera lui aussi profit à mesure que les banques centrales intensifieront leurs activités d'émission de titres de créance et que les bénéfices s'amélioreront par suite de placements dans de nouvelles initiatives d'affaires. Nous prévoyons que le rendement à court terme se maintiendra à l'intérieur de notre cible de notre prévision de bénéfices de 175 à 225 millions de dollars.

Le secteur Siège social a subi une perte nette comme présentée de 102 millions de dollars pour le trimestre, contre une perte nette comme présentée de 120 millions de dollars pour le premier trimestre de l'exercice précédent. La perte nette rajustée pour le trimestre a été de 68 millions de dollars, par rapport à 33 millions de dollars pour le trimestre correspondant de l'exercice précédent. La hausse de la perte nette rajustée en regard du trimestre correspondant de l'exercice précédent est principalement le fait d'une augmentation des frais nets du Siège social et d'une baisse des gains de titrisation, ainsi que de l'incidence d'activités de couverture et de trésorerie favorables et d'une économie d'impôts comptabilisée à l'exercice précédent. Ces variations ont été en partie contrebalancées par l'incidence favorable des transferts entre les secteurs et par l'augmentation des bénéfices réalisés sur le capital non réparti.

La perte nette comme présentée du secteur Siège social pour le trimestre a été de 102 millions de dollars, en comparaison d'une perte nette comme présentée de 290 millions de dollars pour le trimestre précédent. La perte nette rajustée pour le trimestre a été de 68 millions de dollars, par rapport à 163 millions de dollars pour le trimestre précédent. La baisse de la perte nette rajustée découle essentiellement d'une baisse des frais nets du Siège social, des transferts entre les secteurs, de l'augmentation des bénéfices réalisés sur le capital non réparti et de la dépréciation du placement dans Symcor comptabilisée au trimestre précédent. Ces variations favorables ont été en partie annulées par des gains de titrisation moindres.

Avec prise d'effet à l'exercice 2011, nous avons modifié les méthodes d'attribution des coûts et d'établissement des prix de transfert intersectoriels. Dans l'avenir, cette modification devrait donner lieu à une baisse des pertes dans le secteur Siège social. Bien que les résultats du Siège social soient intrinsèquement difficiles à prévoir de par leur nature et qu'ils puissent comprendre une certaine volatilité, nous prévoyons que les pertes du Siège social seront moindres que celles présentées au trimestre considéré. Nous nous attendons à présenter des pertes nettes variant de 80 millions de dollars à 120 millions de dollars pour chacun des autres trimestres de l'exercice 2011, marquant ainsi une baisse par rapport à la perte nette sur douze mois de l'exercice 2010, essentiellement causée par la modification susmentionnée.

TRANSFERTS ENTRE LES SECTEURS

Avec prise d'effet au premier trimestre de 2011, les résultats d'exploitation et les prêts connexes pour les activités américaines de cartes de crédit ont été transférés des Services bancaires personnels et commerciaux au Canada aux Services bancaires personnels et commerciaux aux États-Unis aux fins de la présentation sectorielle. En outre, la Banque a apporté un changement à ses méthodes de répartition qui fait en sorte que certains éléments auparavant présentés dans le secteur Siège social sont maintenant répartis dans d'autres secteurs d'activité. Ces changements n'ont aucune incidence sur les résultats financiers consolidés intermédiaires de la Banque. Les résultats des périodes antérieures n'ont pas été retraités. Le tableau suivant présente les transferts entre les secteurs pour les trois mois terminés le 31 janvier 2011.

Pour toute autre question, les actionnaires peuvent communiquer avec le Service des relations avec les actionnaires de TD par téléphone au 416-944-6367 ou au 1-866-756-8936, ou par courriel à l'adresse tdshinfo@td.com. Veuillez prendre note qu'en nous faisant parvenir un courriel ou en nous laissant un message vocal, vous consentez à ce que nous transmettions votre demande aux personnes aptes à vous répondre.

Les investisseurs, médias et autres parties intéressées qui désirent consulter le présent communiqué de presse sur les résultats du premier trimestre, les diapos sur les résultats et l'information financière supplémentaire, ainsi que le rapport aux actionnaires, sont priés de se rendre sur le site Web de TD à l'adresse http://www.td.com/investor/qr_2011.jsp.

Le Groupe Banque TD donnera une conférence téléphonique sur les résultats, à Toronto (Ontario), le 3 mars 2011. La conférence sera diffusée en direct sur le site Web de TD à 15 h HE. Au cours de la conférence téléphonique et de la diffusion Web, des dirigeants de TD présenteront les résultats financiers de la Banque pour son premier trimestre. Une période de questions destinée aux analystes suivra. Les documents accompagnant les exposés qui auront lieu pendant la conférence seront offerts sur le site Web de TD à l'adresse http://www.td.com/investor/qr_2011.jsp, le 3 mars 2011 vers 12 h HE. Une ligne téléphonique pour écoute seulement sera accessible au 416-644-3416 ou au 1-877-974-0445 (sans frais).

La version archivée de la conférence téléphonique et des documents des exposés pourra être consultée à l'adresse http://www.td.com/investor/qr_2011.jsp. Il sera également possible d'écouter la conférence à partir de 18 h HE, le 3 mars 2011, jusqu'au 4 avril 2011, en composant le 416-640-1917 ou le 1-877-289-8525 (sans frais). Le code d'accès est le 4409134, suivi du carré.

Assemblée annuelle

À propos du Groupe Financier Banque TD

La Banque Toronto-Dominion et ses filiales sont désignées collectivement par l'appellation Groupe Banque TD (TD ou la Banque). TD est la sixième banque en importance en Amérique du Nord d'après le nombre de succursales et il offre ses services à environ 19 millions de clients regroupés dans quatre principaux secteurs qui exercent leurs activités dans plusieurs centres financiers clés dans le monde : Services bancaires personnels et commerciaux au Canada, y compris TD Canada Trust et TD Assurance; Gestion de patrimoine, y compris TD Waterhouse et un placement dans TD Ameritrade; Services bancaires personnels et commerciaux aux États-Unis, y compris TD Bank, la banque américaine la plus pratique, et Services bancaires de gros, y compris Valeurs Mobilières TD. En outre, TD figure parmi les principales sociétés de services financiers par Internet du monde, avec plus de 6 millions de clients en ligne. Le 31 janvier 2011, les actifs de TD totalisaient 616 milliards de dollars canadiens. La Banque Toronto-Dominion est inscrite à la Bourse de Toronto et à la Bourse de New York sous le symbole "TD".