Skip to main content
- Ils gagnent en popularité partout au Canada - Plus de la moitié des Canadiens en milieu urbain aimeraient investir moins de 400 000 $ pour un logement de deux chambres; la volonté de payer reflète probablement les conditions du marché local - L'efficacité énergétique compte parmi les principales commodités recherchées - Facteur de moindre importance : "acheter un logement en copropriété neuf" - L'absence de stationnement et le peu de sécurité constituent les principaux obstacles à l'achat TORONTO, le 7 mai /CNW/ - Les Canadiens vivant en milieu urbain affirment que le peu d'entretien (34 %) et le fait que les logements en copropriété sont plus abordables que les maisons (23 %) constituent les deux raisons principales qui motivent l'achat d'un logement en copropriété, selon le sondage 2008 de TD Canada Trust sur les logements en copropriété. A Vancouver, par contre, l'abordabilité est le facteur prépondérant (40 %), alors que le faible entretien arrive loin derrière en deuxième (20 %). Cinquante-deux pour cent des Canadiens en milieu urbain désirent investir moins de 400 000 $ pour un logement en copropriété de deux chambres, alors que 28 % aimeraient investir moins de 200 000 $. Par contre, les résidents de Vancouver, de Calgary et de Toronto sont prêts à payer davantage, probablement à cause des conditions du marché qui prévalent dans ces villes. A l'échelle du Canada, la popularité des logements en copropriété augmente sans cesse. Près de la moitié des Canadiens en milieu urbain (48 %) envisageraient d'acheter un logement en copropriété à titre de résidence principale, une hausse par rapport à 39 % en 2007. Ces conclusions proviennent du sondage 2008 sur les logements en copropriété de TD Canada Trust. Mené par Angus Reid Strategies du 20 au 25 mars, le sondage se penchait sur les habitudes des Canadiens en milieu urbain à l'égard de la copropriété. Au total, 1 200 entrevues en ligne ont été menées auprès des participants au forum Angus Reid qui se disent enclins à considérer l'achat d'un logement en copropriété à titre de résidence principale. L'échantillon se composait de 200 entrevues dans le Grand Vancouver, Calgary, la Région du Grand Toronto, la Communauté métropolitaine de Montréal, Halifax et Ottawa. "Bien que l'abordabilité soit toujours le facteur gagnant pour plusieurs premiers acheteurs, le marché des logements en copropriété offre aujourd'hui nombre d'options et de commodités, telles que les constructions à haute efficacité énergétique, qui attirent l'attention d'un plus grand nombre d'acheteurs potentiels", a affirmé Joan Dal Bianco, vice-présidente, Crédit garanti par des biens immobiliers. "Sans compter les économistes qui prédisent une augmentation de l'abordabilité du marché immobilier canadien cette année et l'an prochain, et les faibles taux d'intérêt et les prêts hypothécaires souples, faisant en sorte que les logements en copropriété demeureront un choix séduisant pour les acheteurs." L'"Etude sur le prix des maisons au Canada" de Royal LePage révèle qu'au cours du premier trimestre de 2008, le prix national moyen d'un logement en copropriété de catégorie standard au Canada était de 240 423 $, c'est-à-dire 6,9 % de plus qu'à la même période en 2007. Principales conclusions : - Ex aequo à 96 %, l'efficacité énergétique et la sécurité de l'immeuble représentent les deux plus importantes commodités recherchées par les acheteurs potentiels canadiens de logements en copropriété, suivis de près par les frais de copropriété modiques (94 %), le design attrayant (92 %) et la proximité des transports en commun (86 %). Le caractère écologique de l'immeuble est important pour 83 % des personnes interrogées. - L'efficacité énergétique a gagné en popularité en tant que commodité. L'an dernier, elle s'est classée au troisième rang (90 %) derrière la sécurité de l'immeuble (96 %) et le design attrayant (91 %). - A 45 %, être propriétaire d'un logement en copropriété neuf est le facteur le moins important pour les acheteurs potentiels. - Le stationnement est essentiel. Plus des trois quarts (76 %) des personnes interrogées ont répondu que l'absence de stationnement serait une raison pour ne pas acheter un logement en copropriété. L'obstacle à l'achat suivant est l'absence de sécurité (66 %), suivi de l'inefficacité énergétique (56 %). - Près de la moitié des Canadiens en milieu urbain (48 %) ne paieraient pas plus de 400 $ par mois en frais de copropriété, alors que 36 % d'entre eux ne dépasseraient pas 200 $. Les Montréalais, à 58 %, sont les plus susceptibles de fixer leur limite à 200 $; les Torontois, les moins susceptibles (25 %). - Alors que la plupart des Canadiens en milieu urbain ne comptent pas élever une famille dans un logement en copropriété, les avis sur cette question se font moins rigides. Selon le sondage 2007 sur les logements en copropriété, 71 % des personnes interrogées ont affirmé ne pas vouloir tenter l'expérience, comparativement à 67 % cette année. Les résidents de Montréal et d'Halifax sont les moins suscep tibles d'élever une famille dans un logement en copropriété. - Bien que 7 % seulement des Canadiens en milieu urbain possèdent un logement en copropriété aux fins d'investissement plutôt que comme résidence principale, 38 % d'entre eux affirment qu'ils envisageraient de faire un achat en ce sens. Les Vancouverois sont plus enclins à le faire (52 %); les Ottaviens, les moins susceptibles (25 %). - La plupart des Canadiens en milieu urbain comptent habiter le logement en copropriété qu'ils achètent un bon nombre d'années. Trente pour cent d'entre eux y habiteraient de six à dix ans, 27 % de trois à cinq ans et 25 % y habiteraient plus de 15 ans. Le total des résultats présentés pour les six villes constitue une moyenne pondérée qui reflète la population des différentes villes. La marge d'erreur pour l'échantillon total des six villes est de +/-2,9 %, 19 fois sur 20. Au sujet du Groupe Financier Banque TD La Banque Toronto-Dominion et ses filiales sont désignées collectivement par l'appellation "Groupe Financier Banque TD". Le Groupe Financier Banque TD est la septième banque en importance en Amérique du Nord d'après le nombre de succursales et il offre ses services à environ 17 millions de clients regroupés dans quatre secteurs fondamentaux exerçant leurs activités dans plusieurs centres financiers clés partout dans le monde : les services bancaires personnels et commerciaux au Canada, offerts notamment par TD Canada Trust; la gestion de patrimoine, incluant les activités de TD Waterhouse et un investissement dans TD Ameritrade; les services bancaires personnels et commerciaux offerts aux Etats-Unis par TD Commerce Bank, ainsi que les services bancaires en gros, fournis entre autres par Valeurs Mobilières TD. De plus, le Groupe Financier Banque TD se classe parmi les plus grands prestataires de services financiers en ligne du monde, puisqu'il compte plus de 5,5 millions de clients qui font des affaires par voie électronique. Au 31 janvier 2008, le Groupe Financier Banque TD possédait des actifs de 435 milliards de dollars canadiens. La Banque Toronto-Dominion est inscrite aux Bourses de Toronto et de New York sous le symbole "TD", ainsi qu'à la Bourse de Tokyo. Le rapport spécial des Services économiques TD se trouve à l'adresse suivante : http://www.td.com/economics/special/ca0408_housing.pdf Renseignements: Kelly Hechler, Relations avec les médias, Affaires internes et publiques, Groupe Financier Banque TD, (416) 982-2469

See you in a bit

You are now leaving our website and entering a third-party website over which we have no control.

Continue to site Return to TD Stories

Neither TD Bank US Holding Company, nor its subsidiaries or affiliates, is responsible for the content of the third-party sites hyperlinked from this page, nor do they guarantee or endorse the information, recommendations, products or services offered on third party sites.

Third-party sites may have different Privacy and Security policies than TD Bank US Holding Company. You should review the Privacy and Security policies of any third-party website before you provide personal or confidential information.