- Les Vancouveroises sont beaucoup plus enclines à acheter un logement
en copropriété qu'une maison.
- A Calgary et à Edmonton, le choix des femmes est partagé entre les
maisons et les logements en copropriété.
- A Toronto, les femmes ont deux fois plus tendance à acheter des
logements en copropriété que des maisons.
- Les femmes qui achètent leur première propriété sont bien appuyées
par leur famille.
TORONTO, le 29 fév. /CNW/ - Selon un sondage effectué à l'échelle
nationale par TD Canada Trust, le type de logement que les femmes canadiennes
choisissent d'acheter varie énormément selon les régions. Par contre, où
qu'elles demeurent, elles reçoivent un excellent soutien de leur famille.
Comparativement aux maisons, les logements en copropriété viennent en
tête à l'échelle nationale. Parmi les répondantes, 42 % les choisissent,
contre 34 % pour les maisons. Quelques constatations à l'échelle régionale :
- A Vancouver, près de trois femmes sur quatre (73 %) ont choisi un
logement en copropriété, contre 11 % pour une maison.
- A Calgary et à Edmonton, les proportions sont à peu égales (31 % pour
les logements en copropriété et 33 % pour les maisons).
- Dans les Prairies (à Winnipeg, Regina et Saskatoon), le plus récent
achat est une maison, pour 64 % des femmes; à peine 26 % ont choisi
un logement en copropriété.
- A Toronto, 52 % des femmes accordent leur préférence aux logements en
copropriété, contre 25 % aux maisons.
- A Montréal, 41 % des répondantes ont choisi la maison et 35 % un
logement en copropriété.
- Dans les provinces de l'Atlantique, les maisons ont la préférence
dans une proportion de 57 %; à peine 5 % des femmes ont acheté un
logement en copropriété.
"A Vancouver, les femmes ont beaucoup plus tendance à choisir un logement
en copropriété que les femmes des provinces de l'Atlantique; le prix et la
disponibilité sont donc des facteurs cruciaux, affirme Joan Dal Bianco,
vice-présidente, Crédit garanti par des biens immobiliers; on pourrait
affirmer que les femmes canadiennes se basent sur les facteurs économiques et
les conditions du marché quand elles choisissent leur future propriété, plutôt
que sur d'autres critères, notamment l'entretien et la sécurité."
Effectué par Ipsos Reid au cours des deux premières semaines de 2008, ce
sondage s'adressait à des femmes de 20 à 45 ans ayant acheté une propriété
seules plutôt qu'avec un conjoint ou un conjoint de fait. Au sein du groupe
sondé, la moyenne d'âge au moment de l'achat de la première propriété était de
29 ans; 82 % de ces femmes sont célibataires, séparées ou divorcées, 80 %
n'ont pas d'enfant et 49 % détiennent un diplôme universitaire. La grande
majorité d'entre elles (86 %) vivent encore dans la dernière propriété
qu'elles ont achetée et 81 % n'ont fait l'achat que d'une seule résidence à
titre individuel.
A la question portant sur la nature du soutien qu'elles ont reçu des
membres de leur famille au moment où elles leur annonçaient qu'elles
achetaient seules une maison, trois femmes sur quatre (74 %), dans l'ensemble
des régions, ont déclaré avoir reçu un appui très solide. Sept pour cent
seulement ont dit que leur famille ne les avait guère ou pas du tout
soutenues.
Des différences sont apparues selon les régions quand on a demandé aux
répondantes pour quelles raisons elles vendraient leur propriété. A l'échelle
nationale, 50 % d'entre elles ont mentionné comme principal motif la recherche
d'une meilleure propriété; à l'échelle régionale, cependant, la proportion
monte à 60 % à Vancouver et dans les provinces de l'Atlantique. A Montréal, ce
motif a été le moins souvent invoqué, avec une proportion de 41 % des
répondantes.
Dans l'ensemble du pays, parmi les six principales raisons de vendre sa
propriété, la cinquième place était accordée à un prochain mariage, puisque
29 % des répondantes l'ont mentionné. Les répondantes de Toronto, de
Calgary/Edmonton et des Prairies étaient relativement plus enclines à invoquer
ce motif, avec des proportions de 41 %, 40 % et 38 %, respectivement. A
Montréal, seule une femme sur dix (11 %) y songerait; dans les Provinces
atlantiques, la proportion est d'une femme sur cinq (20 %).
"Ces résultats tracent le portrait de femmes propriétaires jeunes,
indépendantes et qui sont bien renseignées sur le plan financier, conclut Mme
Dal Bianco; c'est une véritable révolution qui changera sans doute les
conditions du marché de l'habitation au Canada."
Le sondage en ligne a été effectué auprès de 713 femmes vivant dans les
principaux centres métropolitains du Canada et reflète la population de
Canadiennes de 20 à 45 ans vivant dans ces centres selon les données du
recensement de 2006. La marge d'erreur pour l'ensemble de l'échantillon est de
+/-3,7 %, 19 fois sur 20.
Au sujet du Groupe Financier Banque TD
La Banque Toronto-Dominion et ses filiales sont désignées collectivement
par l'appellation Groupe Financier Banque TD. Le Groupe Financier Banque TD
offre ses services à plus de 14 millions de clients regroupés dans quatre
secteurs clés qui exercent leurs activités dans plusieurs centres financiers
névralgiques dans le monde : Services bancaires personnels et commerciaux au
Canada, y compris TD Canada Trust; Gestion de patrimoine, y compris TD
Waterhouse et un placement dans TD Ameritrade; Services bancaires personnels
et commerciaux aux Etats-Unis, sous la bannière TD Banknorth, et Services
bancaires en gros, y compris Valeurs mobilières TD. En outre, le Groupe
Financier Banque TD figure parmi les principales sociétés de services
financiers par Internet du monde, avec plus de 4,5 millions de clients en
ligne. Au 31 janvier 2008, les actifs du Groupe Financier Banque TD
totalisaient 435 milliards de dollars CA. La Banque Toronto-Dominion est
inscrite à la Bourse de Toronto et à la Bourse de New York sous le symbole
"TD", de même qu'à la Bourse de Tokyo.
Renseignements: Kelly Hechler, Relations avec les médias, Affaires
internes et publiques, Groupe Financier Banque TD, (416) 982-2469