L'abordabilité financière et les frais modiques sont les facteurs
clés pour l'achat d'une copropriété
- Neuf répondants sur dix affirment que l'efficacité énergétique est un
critère important pour le choix d'une copropriété.
- Autres facteurs clés : sécurité suffisante, conception attrayante,
proximité des transports en commun, des restaurants, des théâtres et
des centres commerciaux.
- 400 000 $ est le montant limite pour l'achat d'une copropriété de
deux chambres à coucher.
- Une grande priorité est accordée aux frais de copropriété modiques.
TORONTO, le 28 mars /CNW/ - Selon un sondage réalisé par Ipsos Reid pour
le compte de TD Canada Trust, les Canadiens qui envisagent d'acheter une
copropriété comme résidence principale indiquent que vivre dans un "immeuble
écologique et écoénergétique" représente un critère de choix important.
Dans le cadre du sondage en ligne, les répondants devaient évaluer
l'importance d'un certain nombre de commodités qui pourraient influer sur leur
décision d'acheter une copropriété. Le sondage a été mené du 1er au 5 mars
2007 auprès de 725 adultes âgés de 18 ans et plus vivant à Toronto, Vancouver,
Montréal, Calgary et Halifax.
Parmi les répondants, 90 % ont déclaré qu'un immeuble écologique et
écoénergétique était un facteur de choix très important (45 %) ou plutôt
important (45 %). Seulement 9 % ont indiqué que ce critère n'était pas
réellement important alors que 1 % ont répondu qu'il n'était pas important du
tout.
Lorsqu'on leur a demandé quels sont les facteurs qui les dissuaderaient
d'acheter une copropriété en particulier, les participants ont indiqué que la
raison principale serait l'absence de stationnement (79 %) suivie par
l'absence de sécurité suffisante de l'immeuble (67 %). Le manque d'efficacité
énergétique a également été cité comme raison importante, 63 % ayant répondu
qu'elle influerait sur leur décision.
Une grande importance est également accordée à la proximité des
transports en commun. En effet, 80 % des répondants ont affirmé que ce facteur
était très important (45 %) ou plutôt important (35 %).
"Pour de nombreux Canadiens, les caractéristiques écoénergétiques peuvent
également être attrayantes, car elles répondent à leur souhait de réduire
leurs dépenses mensuelles, déclare Joan Dal Bianco, vice-présidente, Crédit
garanti par des biens immobiliers. Les choix écologiques permettent aux
Canadiens d'économiser de l'argent. Ainsi, lorsqu'ils veulent acheter une
copropriété, ils rechercheront de plus en plus des caractéristiques
écoénergétiques et la proximité des transports en commun. C'est une situation
gagnante tant pour le copropriétaire que pour l'environnement."
La commodité la plus importante qui est recherchée est la sécurité
suffisante de l'immeuble, 96 % des participants ayant répondu qu'elle était
très importante (71 %) ou plutôt importante (25 %). Plus de femmes (77 %) que
d'hommes (63 %) ont indiqué que ce critère était très important. L'importance
accordée à la sécurité de l'immeuble augmente également avec l'âge.
La conception attrayante ainsi que la proximité des théâtres, restaurants
et centres commerciaux sont également des facteurs de choix qui comptent
énormément, alors que faire partie du même groupe d'âge que la plupart des
résidents représente le facteur le moins déterminant dans le choix d'une
copropriété. En effet, la moitié seulement des répondants ont indiqué qu'il
s'agissait d'un facteur très important (13 %) ou plutôt important (37 %).
Le coût vient au premier rang
L'abordabilité représente un critère très important dans la décision
d'acheter une copropriété. En termes de prix, le montant de 400 000 $ semble
être le prix limite pour l'achat d'une copropriété de deux chambres à coucher
puisque 86 % des participants ont indiqué qu'ils ne paieraient qu'un montant
inférieur à ce prix. Un tiers des répondants (35 %) paieraient moins de
200 000 $, un peu plus de la moitié (51 %) seraient prêts à payer entre
200 000 $ et 399 000 $, 6 % paieraient entre 400 000 $ et 600 000 $ alors que
1 % seulement paieraient plus de 600 000 $.
Selon un autre sondage réalisé récemment, le prix moyen d'une copropriété
en 2006 s'élevait à 169 899 $ à Montréal, à 239 816 $ à Toronto, à 262 456 $ à
Calgary, et à 289 344 $ à Vancouver. Le prix moyen dans les quatre villes est
donc de 240 378 $.
Les résultats du sondage concernant les frais de copropriété suivent de
près ceux relatifs aux prix. Lorsqu'on leur a demandé quel était le montant
maximal qu'ils étaient disposés à payer en ce qui a trait aux frais de
copropriété, 86 % ont répondu moins de 400 $ alors que 13 % seulement ont
répondu qu'ils étaient prêts à aller au-delà de ce montant. Ces résultats se
répartissent comme suit : moins de 200 $, 41 %, entre 200 $ et 400 $, 45 %,
entre 400 $ et 600 $, 10 % et plus de 600 $, 3 %.
"Partout au Canada, la majorité des acheteurs considèrent que les
copropriétés représentent une formule plus abordable d'accession à la
propriété, fait remarquer Mme Dal Bianco. De toute évidence, cela est dû à
leur prix d'achat moins élevé que celui d'une maison. Cependant, les acheteurs
de copropriétés qui sont souvent des acheteurs d'une première maison ou des
retraités, veulent également réduire au minimum leurs frais de copropriété et
leurs dépenses afin d'en obtenir le plus pour leur argent. Tant que ces coûts
demeurent relativement abordables, je pense que la copropriété attirera de
plus en plus les acheteurs dans les grandes villes canadiennes."
Tendances à élever des enfants dans une copropriété
Lorsqu'on leur a demandé dans quelle mesure il serait probable qu'ils
envisagent d'élever une famille dans une copropriété, 29 % répondent que cela
est très probable (6 %) ou plutôt probable (23 %). Il s'agit d'une hausse
importante par rapport aux résultats d'un sondage précédent réalisé en mai
2006. Lorsqu'on leur avait alors posé la même question, 20 % seulement avaient
répondu qu'ils étaient très enclins (4 %) à envisager d'élever une famille
dans une copropriété ou plutôt enclins à le faire (16 %).
Il est toutefois intéressant de noter que presque la moitié (46 %) des
participants ont déclaré que la présence d'un nombre élevé d'enfants dans un
immeuble les empêcherait d'acheter une copropriété alors que 5 % ont répondu
que la présence insuffisante d'enfants en serait la raison.
Autres points saillants
- La probabilité que les habitants des principales villes canadiennes
achètent une copropriété comme résidence principale a augmenté de 4 %
depuis juin 2006.
- Les femmes, dans une plus forte proportion que les hommes, déclarent
que les immeubles écoénergétiques sont très importants (50 % contre
40 %). De même, la propension à le déclarer augmente avec l'âge :
41 % pour la tranche d'âge de 18 à 34 ans, 43 % pour la tranche d'âge
de 35 à 54 ans et 50 % pour les personnes âgées de 55 ans et plus.
- Les habitants de la région du Grand Vancouver sont les plus
susceptibles parmi ceux des cinq villes où le sondage a été mené à
envisager d'acheter une copropriété comme première résidence. En
effet, 50 % ont répondu qu'ils seraient très enclins (22 %) ou plutôt
enclins (28 %) à le faire. Il s'agit presque du double du pourcentage
de Montréalais qui sont les moins portés à acheter une copropriété.
Parmi les répondants montréalais, 27 % seulement ont répondu qu'ils
étaient très enclins (11 %) ou plutôt enclins (16 %) à le faire.
- Plus de la moitié des répondants ont indiqué qu'ils envisageraient de
vivre à long terme dans une copropriété; 42 % déclarent "pour le
reste de ma vie" alors que 11 % disent "entre 10 et 15 ans". Il n'est
guère étonnant que la proportion de ceux qui répondent "pour le reste
de ma vie" augmente avec l'âge.
- Parmi les acheteurs potentiels, 57 % déclarent qu'il est très
important (18 %) ou plutôt important (39 %) qu'ils soient les
premiers propriétaires de la copropriété alors que 43 % indiquent que
cela n'est pas vraiment important (34 %) ou pas important du tout
(9 %).
Au sujet d'Ipsos Reid
Ipsos Reid est le chef de file en matière d'information commerciale et le
plus important fournisseur de sondages d'opinion au pays. Présente dans huit
villes, la société Ipsos Reid emploie au Canada plus de 300 chercheurs
professionnels et employés de soutien. Elle dispose du plus grand réseau de
centres d'appels au Canada et du plus grand nombre de panels de ménages et de
répondants en ligne prérecrutés. Employant des conseillers en recherche
chevronnés provenant de divers secteurs d'activité, les bureaux canadiens
d'études de marché et d'affaires publiques d'Ipsos Reid offrent la plus
importante gamme de supports de recherche au Canada - comme le Rapport sur les
tendances Ipsos Reid, source principale en matière d'opinion publique au pays
- afin de procurer à leurs clients des renseignements pertinents débouchant
sur des mesures concrètes. Ipsos Reid est une filiale d'Ipsos, groupe mondial
de premier plan spécialisé dans les études de marché menées par sondage. Pour
en apprendre davantage, visitez le site
www.ipsos.ca.
Au sujet du Groupe financier Banque TD
La Banque Toronto-Dominion et ses filiales sont désignées collectivement
par l'appellation "Groupe Financier Banque TD". Le Groupe Financier Banque TD
offre ses services à plus de 14 millions de clients regroupés dans quatre
secteurs fondamentaux exerçant leurs activités dans plusieurs centres
financiers clés partout dans le monde : les services bancaires personnels et
commerciaux au Canada, offerts notamment par TD Canada Trust; la gestion de
patrimoine, incluant les activités de TD Waterhouse et un investissement dans
TD Ameritrade; les services bancaires de gros, fournis entre autres par
Valeurs Mobilières TD, ainsi que les services bancaires personnels et
commerciaux offerts aux Etats-Unis par TD Banknorth. De plus, le Groupe
Financier Banque TD se classe parmi les plus grands prestataires de services
financiers en ligne du monde, puisqu'il compte plus de 4,5 millions de clients
qui font des affaires par voie électronique. Au 31 janvier 2007, le Groupe
Financier Banque TD possédait des actifs de 408 milliards de dollars
canadiens. La Banque Toronto-Dominion est inscrite aux Bourses de Toronto et
de New York sous le symbole "TD".
Renseignements: Edith Ducharme, Groupe Financier Banque TD, (514)
289-8978,
edith.ducharme@td.com